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Tuesday, November 30, 2021

Les oeuvres d'élèves de Sherbrooke au coeur d'Étincelles de Moment Factory - ICI.Radio-Canada.ca

Le parc Jacques-Cartier à Sherbrooke.

Étincelles de Moment Factory prendra place au coeur du parc Jacques-Cartier à Sherbrooke (archives).

Photo : Radio-Canada / Yannick Cournoyer

Radio-Canada

Le parc Jacques-Cartier se prépare à accueillir la première d'Étincelles, une activité multimédia créée par Moment Factory spécifiquement pour Sherbrooke.

Une activité qui mettra en vedette la bande d'Étincelles, des personnages dessinés par des élèves de 5e et 6e année du Centre de services scolaires de la Région-de-Sherbrooke.

Des personnages qui vont prendre vie tout au long du parcours, leur mission sera très simplement d'illuminer Sherbrooke.

Et ce n’est pas par hasard que ces personnages créés par de petites mains sherbrookoises se retrouvent au coeur de l'activité multimédia.

Le producteur d'Étincelles de Moment Factory, Christian L'Heureux, explique que le but était de parler d'abord et avant aux Sherbrookois.

Pour nous, c'était de créer un lieu de rassemblement au sein de ce parc-là qui est déjà utilisé par les Sherbrookois dans d'autres types d’événements. Pour nous, c’est une belle rencontre avec les Sherbrookois, explique M. L’Heureux.

Il rappelle que cette activité se greffe aux autres activités hivernales de Sherbrooke.

Il y a trois dimensions à cette activité. Il y a une allée immersive en entrée de jeu. Le clou de l'activité est un jeu de lancer de balles interactif dans trois espaces. Il y a le côté ère de repos, de rencontres et de réunion où il sera possible de consommer un breuvage chaud et profiter des joies de l’hiver, mentionne Christian L’Heureux.

Il faudra présenter le passeport vaccinal pour participer à l'activité, qui est gratuite par ailleurs.

Il faut réserver sa place en avance, en ligne.

L'activité se déroule du 10 décembre au 9 janvier, en soirée, en pleine noirceur, pour bien sûr profiter de l'expérience.

Et c'est au parc Jacques-Cartier, en plein cœur de Sherbrooke.

Avec les informations de Christine Bureau

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Édition 2021 du Bulletin de l'activité physique chez les adultes de ParticipACTION : une crise de l'inactivité aggravée par la pandémie - LeLézard.com

Classé dans : Santé, Le Covid-19
Sujets : Enfance, CFG, DEI

TORONTO, le 30 nov. 2021 /CNW/ - Aujourd'hui, ParticipACTION a publié son deuxième Bulletin de l'activité physique chez les adultes, qui démontre que la majorité des adultes canadiens ne respectent pas les niveaux recommandés d'activité physique, ce qui a pour résultat d'aggraver la crise de l'inactivité.

Logo : ParticipACTION (Groupe CNW/ParticipACTION)

Depuis le lancement du premier Bulletin des adultes de ParticipACTION en 2019, la pandémie de COVID-19 a eu des conséquences sur les occasions et les intentions d'être actif des Canadiens. Les mesures sanitaires sont venues interrompre les déplacements actifs pour se rendre au travail ou à l'école, les occasions d'aller au gym, les activités récréatives ainsi que d'autres façons auparavant accessibles de se garder actifs. 

Les comportements sédentaires demeurent élevés chez les adultes canadiens. Moins de la moitié des adultes font au moins 7 500 pas par jouri, et seulement 12 % d'entre eux passent moins de huit heures à être sédentaire chaque jour, ce qui correspond à la note « F » pour les comportements sédentaires.i Les Canadiens ont aussi obtenu la note « F » pour le transport actif, puisque très peu d'adultes utilisent le transport actif comme la marche ou le vélo pour se déplacer.

« Les données prouvent que les adultes ont l'opportunité d'adopter des modes de vie plus actifs, » mentionne John Spence, Ph. D., vice-président du conseil d'administration, Institut canadien de la recherche sur la condition physique et le mode de vie. « Tandis que la pandémie a mis en lumière notre tendance à adopter des comportements sédentaires, elle a aussi révélé l'importance de passer du temps à l'extérieur et de faire de l'activité physique. Bouger de façon quotidienne est l'une des meilleures choses que nous pouvons faire pour notre santé et notre bien-être en général. »

Un avenir physiquement actif est essentiel pour notre santé mentale, notre santé physique et notre bien-être au plan social. L'activité physique peut prévenir les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2 et la démence, en plus d'atténuer les symptômes de dépression et d'anxiété et de stimuler notre humeur. L'inactivité physique coûte annuellement 6,8 milliards $ à notre système de santé, et la COVID-19 a clairement prouvé la volatilité de notre système. Les investissements dans le milieu de l'activité physique peuvent aider à amortir le coup en réduisant les coûts totaux et en contribuant à la santé de la population en général.

« L'édition du Bulletin de cette année souligne encore une fois le besoin urgent d'une stratégie nationale soutenue en matière d'activité physique, » a déclaré Elio Antunes, président et chef de la direction de ParticipACTION. « L'activité physique régulière n'est pas seulement qu'une activité plaisante  pour ceux qui peuvent se le permettre, mais bien une nécessité. Nous demandons au gouvernement du Canada de s'engager à prioriser et à lutter contre la crise de l'inactivité physique. Nous devons prendre rapidement des mesures collectives pour nous assurer que les saines habitudes soient le choix facile pour tous les Canadiens. »

ParticipACTION a récemment publié une lettre ouverte demandant de prioriser la création de politiques inclusives et innovatrices ainsi que des investissements, des programmes et des infrastructures qui font la promotion des bienfaits de l'activité physique.  

Visitez le ParticipACTION.com pour télécharger le Bulletin des adultes, avoir accès aux données entourant la crise de l'inactivité physique au pays, et signer la lettre ouverte de ParticipACTION demandant au gouvernement du Canada que l'activité physique soit vue comme une nécessité de la vie.

À propos de ParticipACTION
ParticipACTION est un organisme national sans but lucratif qui motive et aide les Canadiens à faire de l'activité physique une partie essentielle de leur vie quotidienne. En tant que principale marque canadienne associée à l'activité physique, ParticipACTION travaille avec ses partenaires des milieux du sport, de l'activité physique et des loisirs, ainsi que ses partenaires gouvernementaux et commanditaires corporatifs afin d'aider les Canadiens à diminuer leur temps de sédentarité et à bouger plus grâce à des initiatives innovatrices de mobilisation et de leadership éclairé. ParticipACTION est généreusement soutenu par le gouvernement du Canada. Découvrez comment ParticipACTION fait bouger les Canadiens depuis 50 ans au ParticipACTION.com et téléchargez l'appli gratuite de ParticipACTION pour avoir accès à un outil amusant, fondé sur des données probantes, qui vous encourage le long de votre parcours d'activité physique.

À propos du Bulletin de l'activité physique chez les adultes de ParticipACTION
Mené par une équipe de chercheurs et d'intervenants canadiens du milieu du sport et de l'activité physique, le Bulletin de l'activité physique des adultes de ParticipACTION constitue une synthèse détaillée des connaissances et des sondages nationaux qui y sont reliés. Le Bulletin attribue des notes sous forme de lettres à 18 indicateurs regroupés en quatre catégories : Comportements quotidiens; Caractéristiques individuelles; Espaces, endroits et normes culturelles ; et Stratégies et investissements. ParticipACTION est fier de pouvoir compter sur son partenaire stratégique, l'Institut canadien de la recherche sur la condition physique et le mode de vie, et sur les membres de notre Comité de recherche du Bulletin afin de chercher, développer et diffuser le Bulletin.

Avec notre Bulletin de l'activité physique chez les adultes et le Bulletin de l'activité physique chez les enfants et les jeunes, nous avons créé une série de Bulletins, qui constituent ensemble l'évaluation la plus détaillée de l'activité physique au Canada. Ils entraîneront de nouvelles recherches, de nouveaux investissements et ils influenceront les programmes et politiques.

____________

i Statistique Canada, Analyses personnalisées, Enquête canadienne sur les mesures de la santé, Cycle 6 (2018 et 2019)

SOURCE ParticipACTION


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Communiqué envoyé le 30 novembre 2021 à 07:00 et diffusé par :

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Monday, November 29, 2021

Activité physique | Un « F » pour les Canadiens - La Presse

(Montréal) Au lieu de profiter du temps libre supplémentaire dégagé par le confinement et le travail à la maison pour bouger un peu, les Canadiens sont plus inactifs physiquement que jamais depuis le début de la pandémie et cela leur vaut une note de « F » dans le deuxième « Bulletin de l’activité physique chez les adultes » dévoilé mardi par l’organisme ParticipACTION.

Jean-Benoit Legault La Presse Canadienne

Près de neuf Canadiens sur dix sont ainsi sédentaires pendant au moins huit heures par jour. Seulement 7 % des adultes utilisaient un mode de transport actif pour aller travailler et seulement 49 % d’entre eux marchaient au moins 7500 pas par jour.

Si ce n’est pas d’hier qu’on décrie le peu d’intérêt des Canadiens à se lever et à bouger, il semblerait maintenant que la pandémie soit venue s’ajouter aux nombreux obstacles – réels ou imaginaires – qui se dressaient déjà entre la population et une meilleure forme physique.

« L’activité physique au quotidien a toujours été un défi pour bien des gens, a déploré le président et directeur général de ParticipACTION, Steeve Ager. La pandémie n’a fait qu’accentuer ce défi-là et a même augmenté le déclin de l’activité physique chez les adultes. »

Même les activités quotidiennes, comme prendre une marche avec des amis ou se rendre au travail, ont été mises à mal par la pandémie, que ce soit parce qu’elles n’étaient plus permises ou qu’on ne les jugeait plus sécuritaires.

Si quelques Canadiens ont profité de la pandémie pour commencer à bouger un peu plus, la majorité a malheureusement eu le réflexe inverse, a dit M. Ager. « La sédentarité a augmenté au cours de la dernière année, et c’est peut-être là l’effet le plus néfaste de la pandémie », a-t-il ajouté.

Le « Bulletin de l’activité physique chez les adultes » a été compilé à partir de 18 indicateurs, a expliqué M. Ager. Certains concernaient les habitudes personnelles de la population – comme le nombre de pas par jour, le temps consacré à une activité physique légère à modérée et le temps consacré au sommeil ou à la sédentarité – et d’autres aux facteurs environnementaux liés à l’activité physique, comme la présence d’infrastructures ou l’offre de services.

On a constaté il y a quelques années que le sermon « au moins trois fois par semaine, 30 minutes chaque fois » pouvait avoir comme effet pernicieux de décourager la population en plaçant la barre un peu trop haut. On a alors plutôt adopté un discours plus « inclusif » en suggérant d’incorporer l’activité physique à la vie de tous les jours, par exemple en utilisant l’escalier ou en descendant du bus un arrêt plus tôt.

Le simple fait d’entrecouper notre journée de pauses actives, d’entrecouper les périodes sédentaires en se levant et en se déplaçant, pourra avoir des bienfaits, a ajouté M. Ager.

Le discours, poursuit-il, s’en va beaucoup plus vers rappeler à la population qu’il est nécessaire d’avoir une séquence régulière de mouvements dans notre quotidien. Ceux qui voudront aller un peu plus loin pourront ensuite se rabattre sur les directives qui recommandent environ 150 minutes d’activité physique d’intensité moyenne à élevée par semaine.

« Chaque geste que l’on pose peut avoir des bénéfices et des gains pour notre santé et nous rapproche d’un comportement actif au quotidien », a conclu M. Ager.

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Activité physique | Un « F » pour les Canadiens - La Presse
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L'activité physique a un effet anxiolytique - Le Monde

10 000 pas et plus. L’activité physique régulière a des effets positifs sur la dépression, la littérature scientifique l’a montré depuis de nombreuses années. Elle atténue aussi les symptômes d’anxiété. Une équipe suédoise de l’université de Göteborg a étudié chez 286 patients – 70 % de femmes –, dont la moitié souffrait de troubles anxieux depuis au moins dix ans, de 39 ans d’âge moyen, les effets de séances d’exercice accompagné, en groupe, soit d’intensité modérée à faible, soit d’intensité élevée, pendant douze semaines, en les comparant à un ensemble de patients témoins. L’étude, publiée en ligne dans Journal of Affective Disorders en novembre, montre que les symptômes d’anxiété ont été « significativement atténués avec ces exercices (une séance d’une heure trois fois par semaine), quelle que soit leur intensité, avec un peu plus d’effet lorsque l’exercice était plus soutenu », indiquent les auteurs.

Des personnes courent sur des tapis de course dans un centre de fitness à Paris, le 3 février 2020.

Rappelons que l’anxiété se caractérise « par un sentiment persistant d’insécurité, une inquiétude permanente et excessive qui interfère avec les activités quotidiennes », selon l’Inserm. Cela peut prendre la forme de trouble panique, anxiété généralisée, phobies… Cela amène à des ruminations accompagnées de symptômes physiques et psychiques. Deux fois plus présents chez les femmes que chez les hommes, les troubles anxieux touchent environ 15 % à 20 % de la population à un moment ou à un autre.

Une méta-analyse coordonnée par Elizabeth Aylett (université de Manchester), qui a répertorié 15 études, réalisées sur 675 patients, avait déjà mis en évidence que l’exercice aérobique s’est avéré efficace dans le traitement de l’anxiété. Une étude conduite en prison auprès de 37 détenus (qui n’avaient jamais été incarcérés) par Fabien Legrand, maître de conférences en psychologie à l’université de Reims Champagne-Ardenne, illustre les bénéfices de l’exercice.

Comment expliquer cet effet thérapeutique ? L’aspect socialisant du sport pourrait être porteur. Mais les effets positifs ont également été montrés en pratiquant une activité physique en solo. On sait par ailleurs que cela améliore l’estime de soi. Par ailleurs, « il a été démontré que l’aérobie, grâce à la régulation de la respiration qu’elle engendre, améliore le trouble de panique », souligne Antoine Pelissolo, chef de service de psychiatrie des hôpitaux Henri-Mondor et Albert-Chenevier (AP-HP, Créteil), qui mentionne aussi « les effets sur la gestion du stress, l’amélioration du sommeil, et donc indirectement sur la fatigue ».

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La magie de Moment Factory à Sherbrooke - CULTURE & ÉVÉNEMENTS - En vedette - Estrieplus.com - Le journal Internet - EstriePlus.com

Destination Sherbrooke, appuyée par la Ville de Sherbrooke, a fait appel à Moment Factory et à sa création  « Étincelles » pour divertir les Sherbrookois durant les fêtes. 

« Étincelles » est une nouvelle création de Moment Factory que les estriens connaissent à cause du parc nocturne Foresta Lumina de Coaticook .Moment Factory un studio de divertissement multimédia qui se spécialise dans la conception et la production d'environnements immersifs, combinant la vidéo, l'éclairage, l'architecture, le son et les effets spéciaux offrira donc une activité multimédia hivernale avec « Étincelles »,un nouveau produit d'appel  aux sherbrookois. 

Cette  nouvelle activité en plein air, offerte gratuitement du 10 décembre  au 9 janvier, souhaite illuminer la ville à travers une proposition rassembleuse et familiale avec « Étincelles », Mme Évelyne Beaudin, mairesse de Sherbrooke: « Cet hiver, Sherbrooke brillera dans la nuit. Les expériences Moment Factory, sont toujours très aimées du public, eux qui ont laissé leur marque dans le monde et ici même en Estrie. J'invite les petits et grands à sortir vivre cette expérience multimédia en plein air ».

En plus d'une allée immersive qui fera place à la contemplation, le public sera invité à participer à une série de jeux de balle interactifs. Ils découvriront alors les personnages des Étincelles, une bande d'amis qui profitent de la période des fêtes pour illuminer Sherbrooke de mille feux et la transformer en lieu de célébrations. 

Mme Marie-Pier Veilleux, directrice affaires publiques et relations internationales chez Moment Factory explique « Après une année qui a bouleversé notre façon de vivre et d'interagir, nous avons imaginé une expérience qui contribuerait à réanimer l'espace public tout en créant des moments rassembleurs forts en émotions et émerveillement : une considération au cœur de notre philosophie chez Moment Factory ». 

 Dans chacune des étapes du développement de cette activité, la communauté sherbrookoise aura  été au centre du processus. D'abord, les dessins de 18 classes de 5e et 6e année du Centre de service scolaire de la Région-de-Sherbrooke ont été utilisés pour donner vie aux personnages des Étincelles, une initiative ludique qui permet d'insuffler un sentiment de fierté, tout en faisant découvrir le processus de création aux jeunes Sherbrookois. 

Mme Sylvie-Luce Bergeron est présidente de Destination Sherbrooke et souligne: « La beauté et la réussite d'Étincelles reposent sur la synergie et l'implication de notre milieu et ses collaborations qui feront de cette activité un nouvel évènement incontournable du temps des fêtes à Sherbrooke, une activité attrayante pour les visiteurs, mais aussi pour toute la population. L'arrivée de Moment Factory à Sherbrooke positionne encore mieux notre ville et nous sommes heureux de contribuer à offrir ce cadeau aux gens d'ici et d'ailleurs ». 

 Étincelles s'inscrit ainsi en complément à une foule d'activités du temps des fêtes proposées cette année à Sherbrooke comme La Chasse aux lutins à CentrÔville, Noël au marché de la Gare de Sherbrooke et La balade scintillante, autant de bonnes raisons de sortir en compagnie de parents et amis ou encore pour les visiteurs de passage.

Étincelles par Moment Factory est présentée gratuitement tous les soirs du 10 décembre 2021 au 9 janvier 2022 de 17 h à 22 h au parc Jacques-Cartier de Sherbrooke.

Réservation dès maintenant au www.etincellessherbrooke.com Passeport vaccinal exigé.


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Le recours à l'activité partielle en forte baisse - BFMTV

Seuls 2% des salariés français du privé étaient concernés par l'activité partielle en octobre, soit un recul de 25%.

Le recours à l'activité partielle a diminué de 25% en octobre, ne concernant plus que 400.000 salariés, soit 2% des salariés du privé, selon l'enquête mensuelle de la Dares publiée lundi. Ils étaient encore 600.000 en juillet dernier et plus de 2,3 millions en mars.

Cette diminution provient principalement de trois secteurs: l'hébergement-restauration (-48%), les services aux entreprises (-52%), ainsi que les transports et l'entreposage (-26%).

En revanche, le nombre de salariés en activité partielle dans le secteur de la fabrication de matériels de transports progresse (+19%). En août, l'activité partielle de longue durée (APLD) a diminué de 22%, passant de 180.000 salariés en juillet à 140.000, soit environ 30% du total des salariés en activité partielle.

Le télétravail se stabilise

Par ailleurs, en octobre, 20% des salariés ont été au moins un jour en télétravail, une proportion stable ce mois-ci après une baisse continue entre avril et août (-7 points).

Cependant, le nombre de jours télétravaillés par semaine continue à baisser: les salariés concernés par le télétravail ne sont plus que 6% (-2 points) à avoir télétravaillé tous les jours de la semaine. 57% des télétravailleurs (-1 point) l'ont été entre deux et quatre jours par semaine, 26% (+2 points) un jour par semaine et 11% (+1 point) uniquement quelques jours dans le mois.

Par ailleurs au 31 octobre, parmi les entreprises concernées, celles qui ont des contrats de travail suspendus au motif du non-respect de l'obligation vaccinale ou de la présentation d'un passe sanitaire valide représentent 22% des effectifs.

Cette part est très élevée dans le secteur privé de l'action sociale (39%) et surtout de la santé humaine (57%, soit 20 points de plus entre fin septembre et fin octobre - hausse que l'on peut attribuer notamment à la limite fixée au 15 octobre pour les primo-vaccinés), mais reste nettement moindre dans l'hébergement-restauration (11%).

Le plus souvent, les employeurs indiquent que ces suspensions s'appliquent à moins de 1% de leurs salariés, mais pour une petite minorité d'entre eux (5%), elles concernent jusqu'à 5% de leurs effectifs, notamment dans la partie privée de l'action sociale (14% des cas) et de la santé humaine (12%).

Frédéric Bianchi

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Découvrez les bienfaits de l'activité physique adaptée, un outil de prévention santé ! - Ville de Guérande

L’Association Siel Bleu intervient sur le département de la Loire-Atlantique auprès de personnes pour améliorer leur qualité de vie, leur bien-être au quotidien. Grâce à un outil : l’activité physique adaptée (à leurs besoins, leurs capacités, et leurs envies). Les activités peuvent varier selon les personnes qui pratiquent, mais les objectifs principaux restent les mêmes, améliorer ou maintenir ses capacités physiques et sa qualité de vie.

Ainsi, ce mercredi 1er décembre, salle du Léchet, l’Association Siel Bleu, interviendra auprès des seniors guérandais pour leur proposer deux temps sur l’activité physique adaptée et ses bienfaits :
- de 10h à 11h : Conférence sur les bienfaits de l’activité physique adaptée
- de 11h à 12h : Intervention par un professionnel pour montrer ce qu’est une séance d’activité physique adaptée.
Pour plus de renseignements, vous pouvez contacter : LE CAM Thomas, Responsable départemental au 06 50 48 77 80 ou par mail à thomas.lecam@sielbleu.org

À propos de l’association Siel Bleu


L’Association Siel Bleu s’est développée pour permettre à plus de 140 000 bénéficiaires par semaine (en France), de pratiquer une activité physique adaptée à leurs besoins, capacités et envies. Ce sont 700 «  Sielbleusiens  », professeurs diplômés et spécialisés en activité physique adaptée qui interviennent partout en France, et l’Association Siel Bleu est également présente en Belgique, en Espagne et en Irlande ! Tout le monde devrait pouvoir avoir accès à l’activité physique adaptée, et notamment les plus fragiles : personnes âgées, adultes et enfants en situation de handicap ou atteints de maladies chroniques (diabète, cancer, obésité, maladie d’Alzheimer, …).
En établissement, à domicile ou dans le monde du travail, l’Association Siel Bleu promeut l’activité physique comme une offre thérapeutique à part entière qui doit être accessible au plus grand nombre, quelle que soit sa situation financière. Elle innove au quotidien avec le corps médical pour créer des programmes spécifiques et prouver l’impact de ses activités sur la santé pour chaque pathologie.

Plus d’information :

Service Communication et Evènementiel
Hôtel de Ville
7 place du Marché au Bois
44 350 Guérande
02 40 15 60 40
 

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Sunday, November 28, 2021

Lutins coquins, Lego et calendrier de l'Avent au Musée des Ursulines - L'Hebdo Journal

À l’approche de Noël, le Musée des Ursulines propose plusieurs activités qui sauront plaire aux petits et grands.

Dès le 1er décembre, le Musée des Ursulines présentera un calendrier de l’Avent qui demeurera en place jusqu’au 7 janvier au réfectoire. Les visiteurs pourront y ouvrir toutes les portes pour découvrir 38 traditions ou anecdotes des Ursulines, des photos et des objets en lien avec la période des Fêtes.

Les 11 et 12 décembre, les familles seront invitées à venir piéger de petits lutins coquins qui se sont cachés au Musée. Prévoyez tuque, mitaines et manteau chaud puisque l’activité se déroulera à l’extérieur. Conte, collation et bricolage aussi au programme.

Des départs sont prévus à 9h, 10h30, 13h, 14h30 et 16h pour les enfants âgés de 3 à 6 ans. Le coût de participation à cette activité est de 20$ par famille (2 adultes, 3 enfants) ou de 5$ par personne. En cas de mauvais temps, l’activité se fera à l’intérieur. Notons que l’inscription est obligatoire au 819 375-7922.

Dès le 18 décembre, un vaste chantier de construction démarrera au réfectoire, tandis que les visiteurs seront invités à venir reproduire la rue des Ursulines en jeu de blocs Lego. Une maquette et des photos serviront d’inspiration. La participation à cette activité est incluse dans les droits d’entrée du Musée.

Durant les Fêtes, le Musée des Ursulines sera ouvert les 22, 23, 26, 29 et 30 décembre de 10h à midi et de 13h à 17h. La reprise de l’horaire normal se fera le mercredi 5 janvier 2022.

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Saturday, November 27, 2021

[EN IMAGES] Découvrez 5 entreprises centenaires (ou presque) qui sont encore en activité à Québec - Le Journal de Québec

Rares sont les entreprises québécoises qui frôlent ou dépassent les 100 ans d’existence. Le manque de relève, les erreurs stratégiques, les changements sociaux et les faillites s’avèrent des freins importants à la survie d'un grand nombre de magasins, de manufactures ou d'usines.

• À lire aussi: Survivre aux tempêtes et aux défis des décennies

Voici 5 entreprises bien de chez nous qui ont su faire leur marque à travers le temps et qui sont toujours en activité!

1) Simons (Simons & Orkney, 1840)  

La devanture du magasin Simons au début des années 1960.

Photo courtoisie

La devanture du magasin Simons au début des années 1960.

À tout seigneur, tout honneur: la doyenne de ces entreprises qui sont restées en activité au fil des décennies est celle fondée par John Simons en 1840. Eh oui, elle a récemment soufflé ses 181 bougies!

Ayant émigré d’Écosse avec sa famille alors qu’il n’était qu’un bambin, John Simons a 17 ans lorsqu’il élit domicile dans la ville de Québec afin d’y ouvrir un petit magasin avec James Orkney. Chez Simons & Orkney, situé au coin des rues Saint-Jean et Sainte-Angèle, on peut acheter des denrées sèches et divers produits importés, notamment des textiles. 

Veillant personnellement à la qualité des marchandises, Simons effectuera régulièrement la traversée de l’Atlantique en voilier dans les décennies suivantes: on estime qu’il l'aurait faite plus de 70 fois! Le partenariat d’affaires change en 1865, alors que le commerce prend le nom de Simons & Foulds. Cinq ans plus tard, la boutique déménage au 20, côte de la Fabrique. 

Archibald Simons prend la relève de son père en 1893. Pendant une vingtaine d’années, soit de 1898 à 1918, l’entreprise s’appellera Simons & Minguy, avant de devenir finalement une entreprise exclusivement familiale. 

La troisième génération de Simons prend les commandes en 1935, lorsque Gordon succède, à son tour, à son père. Il développera notamment le rayon du prêt-à-porter pour dames, ce qui démontre son flair!

Dans les années 1960, sous l’influence de Donald Simons, représentant alors la quatrième génération, le magasin familial s’assure de répondre aux goûts vestimentaires des jeunes «dans le vent» en proposant une allure alors inédite au Québec. 

Plusieurs marques exclusives voient le jour, dont Twik, qui s’adresse aux jeunes femmes de moins de 25 ans. La décoration intérieure n’est pas oubliée: Simons lance une ligne d’audacieux articles de maison.

Les dernières décennies du 20e siècle sont l’occasion de réaliser une étonnante expansion. Après avoir ouvert quelques succursales à Québec, Simons réalise une percée dans plusieurs autres régions, incluant la métropole, puis vers l’ouest du pays. Se déployant désormais très largement, l’entreprise demeure toutefois très attachée à ses racines et à Québec. 

Impossible de ne pas mentionner le superbe cadeau offert par la famille Simons à la Ville de Québec pour en souligner le 400e anniversaire: depuis 2008, la fontaine de Tourny trône fièrement sur le rond-point de la place de l’Assemblée nationale, devant l’hôtel du Parlement.

Photo d'archives Stevens Leblanc

2) Biscuits Leclerc (Frs Leclerc Ltée, 1905)  

François Leclerc entouré de ses employés et de quelques-uns de ses enfants, dans la cour arrière du 165, rue Arago, à Québec.

Photo courtoisie

François Leclerc entouré de ses employés et de quelques-uns de ses enfants, dans la cour arrière du 165, rue Arago, à Québec.

Ayant aujourd’hui plusieurs usines au Canada et aux États-Unis, ses produits étant vendus partout dans le monde, Biscuits Leclerc a pourtant de très modestes origines.

C’est en 1905 que François Leclerc décide de quitter la biscuiterie Charest, où il travaillait depuis une douzaine d’années, afin de fonder sa propre biscuiterie. Avec l’aide de son épouse, Zélia Richard, et d’un emprunt de 125$ à son frère Louis, ce «jeune» entrepreneur de 40 ans démarre son entreprise à l’arrière de la résidence familiale au 165, rue Arago. 

D’abord vendus en vrac dans les petites épiceries de quartier de Québec, les biscuits de Frs Leclerc Ltée sont bientôt disponibles, de la Mauricie jusqu’à la Gaspésie!

Malgré un horaire chargé, François Leclerc trouve le temps de contribuer au développement des quartiers Saint-Roch et Saint-Sauveur. Homme très pieux, il s’implique dans les œuvres paroissiales, dont la conférence de la Société de Saint-Vincent de Paul de Québec, la ligue du Sacré-Cœur, le Tiers-Ordre de Saint-François-d'Assise et la congrégation de la Sainte Vierge. Il sera aussi, pendant un temps, marguillier de la paroisse Notre-Dame-de-Jacques-Cartier, puis commissaire à la Commission des écoles catholiques romaines de Québec.

Les installations de la biscuiterie étant presque détruites dans un incendie en 1931, on acquiert une ancienne usine pour se réinstaller au 585, rue Saint-Vallier. Malgré la crise économique et la Grande Dépression, la petite entreprise se porte plutôt bien. 

Ce sont les frères Albini et Donat Leclerc, après le décès de leur père en 1939, qui reprennent le flambeau, gérant prudemment la croissance tout au long des années 1940. La troisième génération, en la personne du jeune Jean-Robert Leclerc, fera ses débuts officiels au sein de François Leclerc ltée en 1955. 

Le marché du biscuit des années 1960 et 1970 s’avère plus compétitif que jamais. Très structurés et disposant d’importants moyens financiers, des consortiums gobent les petites entreprises locales les unes après les autres. Mais les Leclerc ne s’en laissent pas imposer. Les enfants de Jean-Robert s’impliquent et se partagent les tâches. 

La mécanisation, puis l’informatisation permettent à la famille d’adapter ses installations afin de les rendre plus performantes. Enfin, le virage santé entrepris au tournant du millénaire et l’expansion aux États-Unis en 2010 assurent le succès de l’entreprise, à laquelle la cinquième génération contribue déjà! 

3) Juneau (Juneau & Frère, 1919)  

Publicité de Juneau & Frère à l’occasion de son 50e anniversaire, 30 avril 1969.

Photo courtoisie

Publicité de Juneau & Frère à l’occasion de son 50e anniversaire, 30 avril 1969.

Une autre de nos entreprises centenaires locales est Juneau, fondée en 1919, qui possède aujourd’hui deux magasins dans la région de Québec.

Originaire de Saint-Félicien, au Lac-Saint-Jean, la famille Juneau s’installe à Québec au début du siècle. Joseph-Arthur Juneau, qui exerce alors la profession de peintre à Limoilou, s’associe à son frère François-Xavier pour ouvrir un magasin de peinture sur le chemin de la Canardière. Juneau & Frère y restera jusqu’en 1936.

Ayant déménagé sur la 3e Avenue, le petit magasin prend de l’expansion et consolide sa position de distributeur de peinture. Ainsi, il devient l’un des premiers à offrir les produits Sico dans la ville de Québec. On propose aussi des mélanges de peinture faits sur mesure. Joseph-Arthur développe certaines expertises connexes, notamment la pose de feuilles d'or pour la restauration intérieure d'églises!

Comme bien des entrepreneurs de cette époque, Joseph-Arthur Juneau est très impliqué dans sa communauté. Au fil des ans, il est notamment échevin de la ville de Québec, président de l’Association des constructeurs de Québec, membre fondateur du club Richelieu, président du Centre des patrons chrétiens, et directeur des Œuvres du patro Roc-Amadour; rien de moins! 

S’il conserve le titre de président en 1960 et au début des années 1970, l’homme cède progressivement la direction de l’entreprise à ses fils Jean-Marie et Armand Juneau. Il décède en 1976.

La seconde génération de frères Juneau vend l’entreprise à Serge Fortin et Isabelle Roy en 1988. Si le nom initial est conservé, les nouveaux propriétaires s’assurent de mettre l’entreprise au goût du jour: s’adaptant aux diverses tendances en décoration, Juneau & Frère ajoute bientôt à son offre les pinceaux, les outils et les médiums nécessaires pour réaliser des faux finis, très à la mode au tournant des années 1990. 

On s’assure aussi de répondre à la demande pour des produits plus respectueux de l’environnement. Cette adaptabilité est certainement un important facteur de longévité, de même qu’une expansion bien réfléchie, comme en fait foi la seconde succursale ouverte en 1998. 

Si l’intérieur et la devanture du magasin de la 3e Avenue ont été rafraîchis et rénovés il y a quelques années, et si le nom a été changé pour Juneau.ca, la vision commerciale initiale demeure intacte!

4. Drolet Ressorts (Léon Drolet & Fils Enr., 1927)  

Publicité de Léon Drolet & Fils dans L’Action catholique, 17 décembre 1932.

Illustration courtoisie

Publicité de Léon Drolet & Fils dans L’Action catholique, 17 décembre 1932.

Située dans la Basse-Ville de Québec, Drolet Ressorts tire ses origines de Léon Drolet & Fils. Familiale d’abord — trois générations de Drolet la dirigeront au fil des ans —, Drolet Ressorts est ensuite passée à d’autres propriétaires.

Les premières mentions relatives à Léon Drolet remontent à 1888, alors qu’il est indiqué comme forgeron résidant sur la rue Saint-Luc, dans le quartier Saint-Sauveur. C’est toutefois dans l’Annuaire Marcotte de 1927-1928 qu’apparaît pour la première fois l’entreprise Léon Drolet & Fils, forgerons, laquelle est assortie de la mention «ressorts»: c’est donc ce qu’on retiendra comme date de fondation. 

Le fondateur meurt subitement le 7 avril 1928. L’un de ses fils, Alphonse Drolet, prend alors la relève. Il conserve le nom d’affaires, comme cela se faisait souvent, pour bien montrer la continuité. 

Plusieurs indices montrent cependant qu’il s’agit d’une personne dynamique et moderne. Il est notamment président de l’Œuvre des Terrains de Jeux (OTJ) au milieu des années 1930. 

Ayant littéralement grandi au milieu des pièces d’auto, notre homme a la fibre innovatrice: il développe et fait même breveter un nouveau ressort en 1938. Cette invention est apparemment très bien adaptée aux routes cahoteuses! 

Il sera également nommé aviseur technique à Québec pendant la Seconde Guerre mondiale, puis il s’impliquera dans l’administration de la vie ouvrière en représentant le patronat au tribunal d’arbitrage de l’assurance-chômage de 1946.

René Drolet, le fils d’Alphonse, s’implique dans l’entreprise familiale et commence à être présenté comme gérant en 1944. Le jeune homme fait aussi de la «formation continue», ce qui, dans les années 1940-1950, consiste à visiter des entreprises et des industries, notamment aux États-Unis, pour s’inspirer des meilleures pratiques. 

C’est en 1964 que l’entreprise devient Drolet, Ressorts d’Auto Inc. Dès l’année suivante survient le décès d’Alphonse Drolet. Désormais seul aux commandes, René va présider les destinées de l’entreprise jusqu’en 1972. 

Un vent de changement pousse la direction à actualiser l’apparence visuelle (on fait dessiner un nouveau logo) et à changer à nouveau le nom: ce sera désormais Drolet Ressorts Inc. 

L’entreprise n’appartient plus à la famille Drolet, mais elle est toujours en activité sur la rue Caron, à Québec!

5) Transport Guilbault (Paul Guilbault Inc., 1929)  

Camion Paul Guilbault Inc., 1958.

Photo courtoisie

Camion Paul Guilbault Inc., 1958.

Pour cette dernière entreprise, autorisons-nous une légère dérogation: en effet, c’est à Grondines que Paul Guilbault fonde sa «compagnie de charroyage général» en 1929, mais c’est à Québec que l’on installera plus tard le siège social, rue Faraday, où il se trouve d’ailleurs encore!

C’est donc en pleine crise économique que le jeune homme, soutenu par son père Émile Guilbault, achète son premier camion. En quelques décennies, il est à la tête d’une flotte respectable de véhicules. Laissant à d’autres le déplacement des personnes, Paul Guilbault Inc. se concentre sur le transport de marchandises. 

Église Saint-Malo et garage Paul Guilbault sur la rue Marie-de-l’Incarnation, Québec, 1948.

Photo courtoisie BAnQ, E6,S7,SS1,P68678.

Église Saint-Malo et garage Paul Guilbault sur la rue Marie-de-l’Incarnation, Québec, 1948.

En 1947, elle devient la première entreprise à offrir un service de véhicules réfrigérés ou chauffés entre Québec et Montréal. Ses terminaux dans plusieurs villes et villages lui permettent de servir un vaste territoire.

C’est sous la direction d’André Guilbault, le frère de Paul, que l’entreprise se développe dans les années 1960 et 1970. Certains chantiers de construction, notamment ceux lancés par le gouvernement, procurent des opportunités d’affaires, puisque les matériaux nécessaires doivent être transportés un peu partout au Québec. 

L’ajout de clauses spéciales au permis de Paul Guilbault Inc. (pour transporter de lourdes charges d’acier, par exemple) ainsi que l’arrivée de technologies comme le radiotéléphone lui permettent de répondre encore mieux aux besoins de ses nombreux clients. 

En 1971, l’entreprise devient Guilbault Transport Inc. et elle passe aux mains de la nouvelle génération, dont les beaux-frères Jean Guilbault et Michel Gignac. D’importants développements marquent les années qui suivent, dont la construction d’un énorme terminal à Boucherville, inauguré en 1975.

Comme toutes les entreprises de transport, Guilbault doit faire face à de nombreux changements. Elle acquiert plusieurs de ses concurrents, crée des partenariats et, chaque fois, elle doit procéder à des ajustements. 

Les années 1980 s’avèrent difficiles, alors que le transport est déréglementé (les permis spéciaux, par région, ne sont plus nécessaires) et que commence le libre-échange avec les États-Unis, mais les dirigeants tiennent bon. 

Guilbault saisit l’arrivée du nouveau millénaire pour informatiser progressivement de nombreux éléments de sa chaîne de transport et pour se déployer vers l’Ontario, tout en accueillant la troisième génération familiale. Celle-ci tient d’ailleurs fermement le volant depuis 2013!

Un texte de Catherine Ferland, historienne, Rendez-vous d’histoire de Québec.  

  • Pour visionner les conférences et les activités présentées lors des Rendez-vous d’histoire de Québec en 2020 et 2021, visitez la chaîne YouTube ou le site rvhqc.com. Suivez-nous aussi sur Facebook.   

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L'activité des "cars Macron" se rapproche de ses niveaux d'avant-crise - BFMTV

Les opérateurs d'autocars Flixbus et Blablacar ont réalisé en novembre leur meilleur mois depuis le début de la crise sanitaire.

"C'est le moyen le plus pratique, le plus direct. Pas besoin de passer par Paris, contrairement au train qui reste beaucoup plus cher": comme Emma, étudiante à Bordeaux, de nombreux voyageurs envisagent d'utiliser le car pour leurs déplacements de fin d'année. La jeune femme de 23 ans, habituée des "cars Macron", s'apprête à réserver ses billets pour aller à Clermont-Ferrand à Noël. Plombés par la crise sanitaire, les opérateurs Flixbus et Blablacar retrouvent le sourire, après avoir réalisé en novembre leur meilleur mois depuis le début de la pandémie.

Cet automne, les clients ont de nouveaux afflué vers ce moyen de transport, qui a connu un premier semestre 2021 sans éclat et alors qu'il ne s'agit pas d'une saison porteuse traditionnellement. Du fait du Covid-19, la fréquentation des "cars Macron", complètement à l'arrêt pendant le premier confinement, était retombée l'an dernier à son niveau de 2016, juste après la libéralisation du secteur, selon l'Autorité de régulation des transports (ART).

Perspectives "très bonnes"

Les bus longue distance n'ont pas encore retrouvé leur niveau de clientèle d'avant-crise, reconnaît Blablacar, mais ils sont "désormais proches" de les retrouver. Le constat est similaire au sein de l'entreprise allemande Flixbus, son directeur général en France, Yves Lefranc-Moisin, étant "agréablement surpris par la fréquentation sur les lignes et la tenue de la demande". "On estime l'activité à 75% du niveau de 2019", a précisé le groupe à l'AFP. Il espère un retour à la normale en 2022.

Les esprits sont actuellement tournés vers les fêtes de fin d'année, période déterminante pour le secteur avec les vacances d'été. La déléguée générale de la Fédération nationale des transports de voyageurs, Ingrid Maréchal, considère que les perspectives sont "très bonnes" pour ces fêtes, quand Arnaud Aymé, économiste spécialiste des transports, juge qu'il y a "moins de volatilité de la demande [...], ce qui laisse présager une forte activité".

Les voyants sont pour le moment au vert, malgré la reprise de la pandémie, et les réservations sont nombreuses. Blablacar prévoit par exemple une hausse de l'activité de 50% pour les vacances de Noël par rapport à la même période de 2020, tandis que, chez Flixbus, certaines lignes affichent déjà complet. Le groupe allemand prévoit donc d'"augmenter la fréquence" sur certains trajets pour répondre à la demande, la hausse atteignant 20% à 30% par rapport aux congés d'automne.

Retour de l'envie de voyager

Cette hausse de l'activité, Arnaud Aymé l'explique par plusieurs facteurs. "Il y a d'abord un retour de l'envie des Français de voyager, toujours à petit prix. Mais la hausse du carburant constatée en octobre joue aussi. Cela pousse les particuliers vers le transport collectif comme le covoiturage et les autocars", estime-t-il. Cette bonne reprise est toutefois menacée par la fulgurante vague de Covid-19 qui frappe l'Europe, faisant craindre au secteur le retour de nouvelles restrictions qui affecteraient à nouveau l'activité.

"On reste attentifs à l'évolution sanitaire, bien que nous n'ayons pas constaté de baisse de la demande pour le moment", rassure Blablacar. Du côté de Flixbus, en revanche, on admet naviguer à vue. "Nous constatons déjà une très légère baisse des réservations, que nous n'avions pas la semaine dernière. Notre plus grande inquiétude est évidemment un nouvel arrêt complet du réseau sur consignes gouvernementales", s'inquiète Yvan Lefranc-Morin. Pour l'heure, le gouvernement a affirmé jeudi qu'il n'était envisagé à ce stade ni confinement, ni couvre-feu.

J. Br. avec AFP

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Thursday, November 25, 2021

L'activité humaine a « cassé » une des lois fondamentales de la nature - Futura-Sciences

La répartition de la biomasse dans les océans, qui suit une règle immuable depuis toujours, est aujourd'hui cassée dans la partie supérieure du spectre. La preuve que l'Homme n'est pas un prédateur comme les autres, montre une nouvelle étude.

[EN VIDÉO] Une baleine bleue acrobatique  Le plus gros animal que la Terre ait connu, la baleine bleue, peut exécuter des cabrioles pour surprendre son repas. Elle parvient à tourner à 360° sur elle-même. 

En 1972, les scientifiques ont découvert que la vie océanique suivait une règle mathématique immuable : plus un organisme est de petite taille, plus il est abondant dans l'océan. Le krill par exemple est un milliard de fois plus petit que le thon, mais il est un milliard de fois plus abondant. Et cette règle est incroyablement précise : en analysant des échantillons d'eau prélevés dans l'Atlantique et le Pacifique, Ray Sheldon, un océanologue du Bedford Institute of Oceanography au Canada, a constaté que pour chaque tranche de taille de plancton, on obtient exactement la même biomasse. Dans un litre d'eau par exemple, vous aurez en masse un tiers de plancton entre 1 et 10 micromètres de diamètre, un tiers de plancton entre 10 et 100 micromètres et un tiers entre 100 micromètres et 1 millimètre. La concentration est variable selon la profondeur (il y a moins de biomasse dans les eaux profondes), mais les proportions restent inchangées.

Une règle valable des bactéries jusqu’aux baleines

Il s'avère que cette règle se répète pour tous les animaux marins, depuis la plus simple bactérie jusqu’aux baleines. En 2019, un chercheur russe a même découvert qu'elle s'appliquait aux organismes présents dans le sol. De nombreuses hypothèses ont été avancées pour expliquer ce phénomène, comme le métabolisme, la vitesse de consommation de nourriture et de reproduction ou encore le taux de mortalité, toutes corrélées à la taille des organismes vivants.

La biomasse des poissons de plus de 10 grammes et des mammifères marins a diminué de 60 %

Cette harmonie naturelle est pourtant en train d'être bouleversée, avertit aujourd'hui Eric Galbraith, professeur à l'université McGill à Montréal (Canada). Coauteur d'une étude parue en novembre dans Sciences Advances, le scientifique avance que cette règle n'est plus respectée pour les animaux de très grosse taille. « Les impacts humains semblent avoir considérablement tronqué le tiers supérieur du spectre », explique-t-il. Les chercheurs ont estimé pour la première fois la répartition par taille de la biomasse de 12 grands groupes d'organismes marins sur environ 33.000 points de l'océan mondial. Ils ont ensuite reconstruit ces mêmes données avec ce qu'elles étaient avant le début de la pêche industrielle en 1850. Et le constat est sans appel : si la fameuse règle de répartition reste bien valable pour la grande majorité des cas, elle semble s'être cassée chez les gros poissons et mammifères. « La biomasse des poissons de plus de 10 grammes et des mammifères marins a été réduite d'environ 2 gigatonnes depuis 1850, soit une réduction de 60 %, et les classes de taille les plus importantes semblent avoir connu une réduction de près de 90 % de la biomasse depuis 1800 », décrypte le chercheur. Et le coupable est tout trouvé : la surpêche et la chasse à la baleine.

L’Homme, un prédateur pas comme les autres

« Les humains sont maintenant le principal prédateur de l'écosystème marin, après avoir extrait la plupart des poissons et mammifères prédateurs qui occupaient auparavant les plages supérieures du spectre de taille. Cela soulève la question : les humains jouent-ils aujourd'hui le même rôle que celui joué auparavant par les prédateurs que nous avons éliminés ? Agissons-nous maintenant comme un prédateur fonctionnellement équivalent ? La réponse est clairement non », tranche Eric Galbraith. Il suffit d'ailleurs de comparer la biomasse humaine à celle des gros poissons et mammifères que l'Homme a éliminés pour constater qu'elle reste ridiculement petite.

Les BOFFFF, premières victimes de la surpêche

Le problème, c'est que la pêche vise prioritairement les créatures marines les plus valorisables et les plus faciles à trouver, que les scientifiques surnomment BOFFFF (Big, old, fat, fecund, female, fish - soit gros, âgé, gras, en âge de féconder, femelle et poisson). Cette préférence déstabilise complètement l'équilibre naturel, puisqu'il empêche les espèces de se reproduire correctement. De manière générale, on observe d'ailleurs que les gros animaux sont plus affectés par les activités humaines que les petits, notamment parce qu'ils sont plus sensibles aux modifications de l'écosystème. Ce n'est pas un hasard si les mammouths et la mégafaune préhistorique ont aujourd'hui disparu.

La bonne nouvelle, c'est que si l'Homme fait disparaître les espèces à un rythme accéléré, il a aussi le pouvoir de les protéger. Dans son dernier rapport sur la liste rouge des espèces menacées, l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a ainsi noté que quatre espèces de thon sur les sept les plus pêchées sont en voie de rétablissement, grâce à la mise en place de quotas. La population de bisons recommence à augmenter en Europe et une dizaine d'espèces d'oiseaux sont sorties de la catégorie en danger critique d'extinction. Un effort qui reste toutefois une goutte d'eau dans l'océan.

Les grands animaux marins victimes de la sixième extinction de masse

Article de Marie-Céline Ray publié le 15/09/2016

Les activités humaines sont à l'origine de la sixième extinction en masse d'espèces que connaît la Terre et, dans les océans, ce sont les grands animaux (requins, baleines, thons...) qui payent le plus lourd tribut. Une situation sans précédent qui pourrait avoir des conséquences à long terme.

Dans une nouvelle étude à paraître dans Science, Jonathan Payne (université de Stanford) et ses collègues ont analysé le lien entre le risque d'extinction et les caractéristiques des animaux marins, qu'il s'agisse de mollusques ou de vertébrés. Ils ont comparé ces 500 dernières années aux 445 millions d'années précédentes.

Les auteurs ont trouvé un phénomène inédit : aujourd'hui, les organismes de grande taille risquent davantage de disparaître que les plus petits. Ainsi, lorsque la masse de l'animal augmente d'un facteur de 10, le risque d’extinction grimpe d'un facteur de 13, ce que résume le scientifique par : « Plus vous êtes gros, plus vous êtes susceptible d'être en voie d'extinction. » La sixième extinction de masse toucherait donc particulièrement de grands animaux marins comme le grand requin blanc, la baleine bleue, ou le thon rouge.

La surpêche est clairement mise en cause car l'homme aurait tendance à préférer les gros animaux pour sa consommation.  Cette extinction des grands animaux marins pourrait avoir des conséquences importantes sur les écosystèmes océaniques. C'est pourquoi le chercheur en appelle à la responsabilité collective : « Nous ne pouvons pas faire grand chose pour inverser rapidement les tendances du réchauffement de l'océan ou l'acidification des océans, qui sont les deux menaces réelles qui doivent être abordées. Mais nous pouvons changer les traités relatifs à la façon dont nous chassons et pêchons. Les populations de poissons ont aussi le potentiel de récupérer beaucoup plus rapidement que le climat ou la chimie des océans. Nous pouvons inverser cette situation relativement rapidement avec des décisions de gestion appropriées au niveau national et international. »

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Bourse: ce qui bouge sur les marchés avant l'ouverture vendredi - LesAffaires.com

REVUES DES MARCHÉS. Les Bourses européennes évoluent en baisse vendredi, déçues par la publication d’indicateurs montrant un essoufflement...