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Wednesday, March 29, 2023

Art diamond painting : une activité créative et relaxante pour tous - BuzzWebzine.fr

Vous cherchez une activité artistique accessible à tous ? Découvrez le diamond painting, une passion créative et relaxante qui ravira petits et grands !

diamond painting

Le diamond painting ou la broderie diamant est une forme d’art en constante évolution qui permet de créer de superbes œuvres étincelantes. Cette activité créative a gagné en popularité ces dernières années pour de nombreuses raisons. En combinant l’art traditionnel de la mosaïque avec la modernité des diamants en résine, le diamond painting offre une expérience de création unique en son genre. Découvrez dans cet article tout ce qu’il faut savoir sur cette activité manuelle tendance.

Qu’est-ce que le diamond painting ?

Également appelé la broderie diamant, le diamond painting est une activité créative et relaxante qui consiste à coller de petits diamants en résine sur une toile préimprimée afin de créer une image brillante et colorée. Vous pouvez donc choisir les thèmes de diamond painting que vous souhaitez en fonction de vos préférences. Ce passe-temps artistique offre une facilité d’utilisation. En effet, il vous permet de produire de superbes résultats même si vous n’avez pas d’expérience en la matière.

Le diamond painting est une activité artistique consistant à coller de petits diamants en résine sur une toile préimprimée pour créer une image scintillante.

Vous trouverez sur le marché des kits de diamond painting comprenant tout le matériel nécessaire pour faire sortir l’artiste qui sommeille en vous. En général, un kit inclut une toile adhésive sur laquelle une image et/ou inscription est déjà imprimée. Bien évidemment, tous les diamants en résine sont fournis ainsi que les accessoires indispensables pour coller vos diamants, dont un stylet et un plateau. Les tableaux de diamond painting ont du relief et brillent de mille feux.

VOIR AUSSI : Comment peindre une maquette à l’aérographe ?

Quels sont les avantages du diamond painting ?

Le diamond painting offre de nombreux avantages si vous cherchez une activité créative qui détend. Dans un premier temps, il est facile à apprendre et ne nécessite pas de compétences artistiques particulières. De plus, le diamond painting est une activité sociale qui peut être pratiquée en groupe, ce qui en fait une excellente activité à partager avec vos amis et votre famille. D’autant que la broderie diamant convient à tous les âges et à toutes les capacités. En un mot, elle est accessible à tous !

Les avantages du diamond painting incluent la détente, la réduction du stress, l’amélioration de la coordination œil-main, la stimulation de la créativité et l’expression personnelle.

Cette activité de loisir aide à se détendre et à combattre le stress. Elle vous pousse à vous concentrer sur une tâche simple et répétitive, sans la moindre prise de tête. La concentration nécessaire pour placer les diamants sur la toile aide aussi à calmer l’esprit et favorise le bien-être. De plus, le processus de création peut avoir un effet thérapeutique et aider à soulager la tension. À la fin de la session, vous aurez la satisfaction d’avoir créé un bel œuvre d’art. C’est excellent pour booster l’estime de soi.

Le diamond painting implique l’utilisation d’une pince pour saisir les petits diamants ou strass et les placer sur la toile. Par conséquent, il contribue à améliorer la coordination œil-main et la dextérité. En pratiquant régulièrement le diamond painting, il est possible de renforcer ces compétences, qui peuvent d’ailleurs servir dans d’autres domaines de la vie.

créer un diamond painting

En outre, la broderie diamant permet de créer des toiles personnalisées et uniques en suivant des thèmes prédéfinis. Profitez-en pour laisser libre cours à votre créativité en choisissant vos propres combinaisons de couleurs et en personnalisant les modèles. De cette manière, l’activité va stimuler votre imagination et encourager l’expression de soi. En bonus, vous aurez des tableaux de diamond painting pour décorer votre intérieur avec originalité.

VOIR AUSSI : Bodypainting : il peint des formes d’animaux sur des mains

Les bases du diamond painting

Même s’il est facile de pratiquer le diamond painting, il convient quand même d’avoir de bonnes bases pour apprécier l’activité et profiter de tous ses bienfaits. C’est aussi important pour créer des tableaux scintillants réussis. La première étape consiste naturellement à acheter un kit de diamond painting en ligne ou dans un magasin d’artisanat. À titre de rappel, le kit contient tout le matériel nécessaire, y compris la toile préimprimée, les diamants en résine triés par couleur, un stylet ou une pince et de la colle.

Une fois que vous avez choisi un motif ou une image en particulier, il vous suffit de suivre les instructions du kit pour commencer votre tableau étincelant. Trouvez un espace de travail confortable et bien éclairé où vous réaliserez sur votre projet. Assurez-vous d’avoir suffisamment de place pour étaler votre toile et vos fournitures. Une fois que vous avez terminé de remplir toutes les zones avec les diamants, vous pouvez encadrer votre œuvre d’art ou l’utiliser pour décorer votre maison.

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Quelle est la meilleure activité physique pour les aînés ? - L’actualité

L’auteur est gériatre, épidémiologiste et chercheur au Centre hospitalier de l’Université de Montréal. Il est aussi l’un des cofondateurs et l’expert médical de l’entreprise Eugeria, qui s’est donné pour mission d’améliorer le quotidien des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.

J’ai rarement besoin de convaincre les personnes âgées et leurs proches de l’importance de la mémoire, et plus largement des fonctions cognitives. Mais j’ai plus de difficulté à leur faire avaler la pilule de l’exercice physique. Pour une consultation en raison de troubles de mobilité (et de chutes), j’en fais de cinq à dix pour des troubles cognitifs. Pourtant, les deux types d’atteintes contribuent aux pertes d’autonomie qui forcent un aîné à quitter sa maison. Un déclin cognitif est une chose, un déclin physique en est une autre, mais lorsque les deux se combinent, l’effet est décuplé. Soucions-nous autant de nos pieds que de notre tête.

Les bienfaits de l’activité physique

Les bénéfices d’une pratique régulière d’activités physiques débordent largement le système musculaire. Le cœur, les poumons et les os sont des organes dont la fonction se renforce à l’usage : l’exercice physique est une des meilleures manières d’éviter ou de retarder les maladies cardiovasculaires ou les fractures dues à l’ostéoporose et aux chutes. 

De façon peut-être étonnante, il a aussi été démontré que l’exercice physique a des effets positifs sur les fonctions cognitives : d’abord à long terme en réduisant le risque d’être atteint de troubles cognitifs (tels que la démence), mais également à court terme par l’amélioration directe des fonctions du cerveau lui-même, particulièrement en ce qui a trait à la planification et à l’organisation. L’activité physique a un effet positif sur l’humeur, et lorsqu’il s’agit d’une activité physique collective, cet effet augmente.

Combien de temps faut-il y consacrer ?

L’Organisation mondiale de la santé recommande aux personnes de plus de 65 ans de pratiquer chaque semaine la même quantité d’activité physique que les adultes plus jeunes, soit au moins 150 minutes d’activité d’intensité modérée (comme marcher d’un bon pas ou danser) ou 75 minutes d’activité d’intensité soutenue (comme monter une côte à pied ou faire du vélo à vive allure). Cela peut aussi être une combinaison des deux, par exemple 90 minutes de marche et 30 minutes de course. 

De plus, surtout pour les aînés aux prises avec des troubles de mobilité et sujets aux chutes, on préconise d’ajouter au programme, deux ou trois fois par semaine, des activités qui mettent l’accent sur l’équilibre fonctionnel, telles que le taï-chi.

Simple, non ? Disons que ces recommandations sont plus faciles à lire qu’à mettre en branle.

Les quatre types d’activités physiques

Mieux on comprend les choses, plus on y trouve un sens et plus on est motivé à les faire. Il faut donc savoir que toutes les activités physiques ne sont pas équivalentes. Pour en tirer le bénéfice maximal, il est judicieux de répartir son énergie entre plusieurs formes d’exercices, et non pas toute la concentrer sur de longues marches de plusieurs heures.

On peut les classer en quatre types : l’endurance, la résistance (ou force musculaire), l’équilibre et la flexibilité. 

Les activités d’endurance, aussi appelées « aérobiques », font augmenter les fréquences cardiaque et respiratoire. La marche, la danse, la natation et le vélo en sont de bons exemples. 

Viennent ensuite les exercices de type résistance musculaire, qui font travailler les muscles eux-mêmes et les sollicitent à un niveau supérieur à ce qu’ils font en temps normal : poids et haltères, appareils de musculation, transport d’objets lourds (comme l’épicerie), bandes élastiques et exercices qui emploient le corps comme résistance (comme des pompes, ou push-ups en anglais, debout au mur). 

L’équilibre et la flexibilité sont deux composantes souvent oubliées de la forme et de l’activité physique. Elles appellent des exercices qui visent à augmenter la stabilité et le contrôle du corps ainsi que l’amplitude des mouvements : faire du taï-chi ou du yoga, se tenir sur un pied, effectuer des exercices d’étirement, marcher en tandem (comme sur une corde raide imaginaire, en regardant devant soi).        

On réduit souvent l’activité physique aux exercices d’endurance. Les quatre types d’exercices sont pourtant complémentaires et participent au maintien de la forme physique, donc de la capacité à vaquer à toutes nos activités quotidiennes malgré le vieillissement. 

Renforcer ses réserves 

Dans la fleur « physique » de l’âge, quand le corps a le potentiel de courir un marathon, l’inactivité physique n’a que très rarement un effet sur la vie quotidienne : il y a une réserve physiologique, un coussin de sécurité. 

Mais pour de nombreuses personnes de plus de 70 ans, cette même inactivité physique empêchera le corps de maintenir une réserve physiologique suffisante pour les activités quotidiennes essentielles. C’est encore pire lorsqu’il leur faut traverser un stresseur important comme une chute, une maladie grave ou une hospitalisation. 

Plus on est près du seuil d’inactivité engendrant des conséquences néfastes, plus il est payant de s’en éloigner. C’est la meilleure façon de préserver sa capacité à se déplacer ou à faire ses courses, afin de conserver son autonomie.

Des obstacles à la pratique de l’activité physique

Pourquoi ne pratique-t-on pas plus d’activités physiques, particulièrement en vieillissant ? Je perçois chez mes patients une certaine inertie devant le changement, et cette réaction n’est pas l’apanage des personnes âgées. Adopter de nouveaux comportements exige d’instaurer des routines qui ne viennent pas naturellement. 

Notons ensuite que les bénéfices importants de l’activité physique n’ont été démontrés dans la littérature scientifique qu’à partir des années 1960-1970, alors que notre mode de vie se sédentarisait de plus en plus. Le lien entre exercice physique et santé est moins évident pour les gens très âgés que pour les générations qui ont suivi. Après tout, la populaire entraîneuse Josée Lavigueur n’a que 57 ans !

L’inactivité chez les aînés s’explique aussi par la douleur et la crainte de blessures et de chute. Un cercle vicieux peut s’installer : la douleur entraîne l’inactivité, qui elle-même augmente la douleur. Il en va de même pour la peur de tomber, car l’inactivité mène au déconditionnement, qui augmente le risque de chute et encourage l’inactivité. On sait pourtant que se remettre à bouger peut entretenir un cercle vertueux et atténuer la douleur et la peur de tomber. 

Finalement, des aînés se demandent si certaines des affections dont ils souffrent peuvent rendre dangereuse la pratique d’activités physiques. Sachez qu’il existe très peu de contre-indications absolues à certaines formes d’activité physique. La clé est de personnaliser l’exercice selon nos limitations, et surtout nos besoins, nos capacités et nos envies.

Des outils pour faire le choix de l’activité physique

J’observe une grande diversité dans la forme physique des personnes âgées. Impossible, donc, de proposer à toutes les mêmes activités. 

Le plus important est de commencer et, progressivement, de se pousser un peu selon ses capacités — les anglophones (et les pharmaciens en gériatrie !) ont une jolie formule pour cela : « Start low, go slow, but go. » Il est essentiel de choisir des activités qui nous sont agréables, car ce sera la meilleure façon d’en assurer la poursuite. Optez également pour des types d’activités variés et combinés (endurance, résistance, équilibre et souplesse). Vous pouvez consulter un professionnel de la santé, en particulier un kinésiologue ou un physiothérapeute, pour trouver un programme qui vous convient.

Il y a aussi d’excellentes ressources québécoises en ligne. La première, SAFE (Soutien aux aînés pour la forme et l’équilibre), a été mise sur pied par des gériatres du Centre universitaire de santé McGill. La deuxième, Le GO pour bouger, a été créée par des kinésiologues de Sercovie, la Direction régionale de santé publique de Montréal et le service de gériatrie du CHUM. L’une et l’autre proposent des programmes d’exercices adaptés et propres à différents niveaux de condition physique. Faites le choix de l’activité physique et passez de la théorie à la pratique !

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Le Club Med, qui a retrouvé l'activité d'avant-pandémie, débute fort l'année 2023 - LesAffaires.com

La plage de La Caravelle en Guadeloupe, appartenant au Club Med. (Photo: Getty Images)

Le groupe Club Med, pionnier des villages-clubs désormais recentré sur le haut de gamme, a retrouvé en 2022 son activité d’avant-pandémie, grâce à un « fort rebond » en Europe et en Amérique du Nord, qui a permis un doublement de son chiffre d’affaires.

L’an dernier, le volume d’affaires s’est établi à 1,7 milliard d’euros, ressortant deux fois supérieur à celui de 2021 et retrouvant 99% de son niveau de 2019, précise le Club Med dans un communiqué.

L’année 2022 a marqué une « étape importante dans la stratégie de montée en gamme » du Club Med puisque le haut de gamme représente désormais 95% de son parc de villages, grâce à l’ouverture de sept nouveaux « resorts », souligne Henri Giscard d’Estaing, président du groupe, cité dans le communiqué.

Autre motif de satisfaction: les perspectives pour la première moitié de l’année 2023 sont « très encourageantes », indique-t-il, grâce à des réservations en hausse de 36% pour les départs prévus au premier semestre, par rapport à la même période l’an dernier.

En 2022, l’activité du Club Med « a poursuivi et accéléré son rebond en Europe et en Amériques », après une reprise déjà forte au second semestre 2021, et ce malgré l’impact, variable d’un pays à l’autre, de la pandémie de Covid-19 en janvier et février, note le groupe. 

Le résultat opérationnel s’est établi à 98 millions d’euros en 2022, retrouvant son niveau d’avant-Covid, grâce aux « excellentes performances de l’Europe et des Amériques », en dépit du maintien des restrictions de déplacement en Asie et de la reprise du Covid-19 en Chine.

En France, le chiffre d’affaires a plus que doublé sur un an à 662 millions d’euros, soit 6% au-dessus de son niveau prépandémie. 

Quant à la zone « Amériques », Nord et Sud, elle a enregistré en 2022 « une forte reprise » (+89% sur un an et +33% comparés à 2019), profitant d’une « forte demande aux États-Unis et au Canada », de la montée en gamme de l’offre et d’une « très forte progression des voyages intérieurs au Brésil ». 

En revanche, l’Asie est restée lourdement affectée par la pandémie, « malgré des premiers signes de reprise » au second semestre. Le volume d’affaires est resté quasi divisé par deux (-48%) en 2022 comparés à 2019, malgré un rattrapage au second semestre.

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Comment les influenceurs accueillent la loi qui encadrent leur activité - Le HuffPost

BATH, UNITED KINGDOM - MARCH 16: In this photo illustration the logo of Chinese online social media and video hosting service TikTok is displayed on a smartphone screen alongside that of that of YouTube, instant messaging software Whatsapp Facebook, Twitter, Instagram, Quora, Facebook Messenger and Snapchat on March 16, 2023 in Bath, England. Following the lead of the EU Commission and several US administrations, TikTok is set to be banned from UK government phones amid security concerns around the Chinese-owned video app. Recently TikTok announced that every account belonging to a user below age 18 have a 60-minute daily screen time limit automatically set. (Photo by Matt Cardy/Getty Images)
Matt Cardy / Getty Images BATH, UNITED KINGDOM - MARCH 16: In this photo illustration the logo of Chinese online social media and video hosting service TikTok is displayed on a smartphone screen alongside that of that of YouTube, instant messaging software Whatsapp Facebook, Twitter, Instagram, Quora, Facebook Messenger and Snapchat on March 16, 2023 in Bath, England. Following the lead of the EU Commission and several US administrations, TikTok is set to be banned from UK government phones amid security concerns around the Chinese-owned video app. Recently TikTok announced that every account belonging to a user below age 18 have a 60-minute daily screen time limit automatically set. (Photo by Matt Cardy/Getty Images)

Matt Cardy / Getty Images

L’examen d’une proposition de loi visant à réguler le business de l’influence sur les réseaux sociaux sera examinée à partir du mardi 28 mars à l’Assemblée Nationale. Photo d’illustration.

RÉSEAUX SOCIAUX - Régulation de la publicité, usage des filtres et protection des mineurs… L’Assemblée nationale examinera à partir du mardi 28 mars une proposition de loi visant à mieux encadrer le business des influenceurs. On l’a vu ces derniers mois avec la croisade du rappeur Booba contre ceux qu’il surnomme les « influvoleurs » : de nombreux créateurs de contenus, le plus souvent issus de la téléréalité, sont peu scrupuleux en matière de publicité.

Or comme l’a souligné le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, à la mi-mars sur franceinfo, « le Net ne doit pas être « le Far-West ». Avec ce texte, le Parlement est amené à réguler une bonne fois pour toutes les mauvaises pratiques dans le domaine du marketing d’influence.

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Une régulation jugée nécessaire et « bénéfique » par Myriam Roche, la fondatrice du média en ligne Gens d’Internet. « Il y a encore trop de flou juridique autour du secteur de l’influence et l’idée demeure qu’en l’absence de règles claires, les influenceurs font ce qu’ils veulent », déclare-t-elle au HuffPost.

« Tous les créateurs de contenus seront soumis aux mêmes règles »

« Avec cette nouvelle réglementation, on va montrer que c’est un secteur d’activité reconnu et que tous les créateurs de contenus, mais aussi leurs agences, sont soumis aux mêmes règles, qu’ils aient 10 000 ou 1 million d’abonnés », poursuit-elle.

Le texte, déposé par les députés Stéphane Vojetta (Renaissance) et Arthur Delaporte (PS), cherche avant tout à réguler la publicité. S’il est adopté, les influenceurs auront l’interdiction de faire la promotion d’opérations chirurgicales. Les pubs pour les injections de botox ou les greffes de cheveux en Turquie, seront donc de l’histoire ancienne.

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Les créateurs de contenu seront également tenus de respecter le cadre légal prévu pour le marketing digital dans les médias traditionnels. C’est-à-dire que leurs pubs devront être signalées comme telles et alerter sur le caractère néfaste de certains secteurs, comme les jeux d’argent ou les plateformes de trading.

Enfin, la proposition de loi vise à signaler l’utilisation des filtres, à définir plus clairement le statut légal des influenceurs, mais aussi à systématiser le recours aux contrats de travail. « Les stars de la téléréalité font beaucoup de partenariats sans avoir de contrats, comme de la promotion de boîte de nuit par exemple, où il y a pourtant échange monétaire et demande de prestation établie », illustre Myriam Roche.

Une tribune pointée du doigt par les influenceurs

Le modèle souhaité par Bercy apparaît donc plus vertueux et sécurisant, que ce soit pour les influenceurs - qui sont parfois mineurs - ou leur public.

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Alors qu’en pensent les principaux intéressés ? Une tribune publiée dans Le JDD ce samedi et signée par 150 grands noms du secteur a laissé croire qu’ils s’y opposaient. Les signataires s’y inquiètent des effets néfastes de la loi sur leurs activités et demandent aux parlementaires de ne pas les considérer comme une « menace », ni de « mettre à mal une économie florissante ».

Mais depuis, Squeezie, Seb la Frite ou Dr Nozman pour ne citer qu’eux, sont revenus sur leurs signatures en disant avoir mal ou pas lu le texte qu’ils avaient signé. Ils assurent qu’ils se conforment déjà pour la plupart à ces règles et estiment qu’elles n’auront que peu ou pas d’impact sur leur activité.

« J’ai fait l’erreur de donner mon accord pour que mon nom apparaisse », a écrit Squeezie dans un message publié sur son compte Twitter, où il regrette une tribune visant à « limiter la casse sur les influenceurs mal intentionnés ».

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« Je ne suis pas impacté par ces lois, je n’ai à perdre avec cette réforme qui est destinée à réglementer des placements de produits immoraux (...) », a-t-il encore argué, avant d’ajouter qu’il se réjouissait que les « arnaqueurs soient enfin sanctionnés ».

« Les gros créateurs de contenus s’autorégulent depuis longtemps »

Une position compréhensible, pour Myriam Roche : « Les gros créateurs de contenus comme Squeezie ou Enjoy Phoenix s’autorégulent déjà depuis longtemps, signalent leurs publicités et ont recours à des contrats, même si on a déjà vu des manques de transparence, donc ils ne sont pas vraiment touchés par cette loi, explique-t-elle. Ce qui les dérange, c’est qu’on parle à leur place et que leur parole soit instrumentalisée ».

L’UMICC, la fédération d’agences d’influence derrière la tribune du JDD, s’est formée pour prendre la parole lors des échanges avec Bercy sur le métier d’influenceur, mais « elle a toujours eu une méfiance vis-à-vis du gouvernement, par peur de voir le secteur surréglementé », estime Myriam Roche. Selon elle, ce texte a sans doute été « rapidement écrit avant l’examen de la loi à l’Assemblée, pour s’assurer que les députés iraient dans le bon sens ».

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Si dans un nouveau communiqué, l’UMICC a assuré qu’elle était « en faveur de la proposition de loi », les agences semblent plus embarrassées par cette loi que les créateurs de contenus. Or, comme le rappelle la fondatrice de Gens d’Internet, « seuls 3 % des influenceurs sont aujourd’hui représentés » par ces structures.

Les influenceurs qui se sont exprimés se disent eux favorables à une régulation du secteur et voient d’un bon œil que le Parlement prenne des mesures contre « les escroqueries ». Malgré le quiproquo provoqué par la tribune, il semble donc que tout le monde soit sur la même longueur d’onde et qu’une vraie régulation des influenceurs et de leurs publicités soit en bonne voie. Booba va peut-être enfin pouvoir se remettre à la musique.

À voir également sur Le HuffPost :

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Tuesday, March 28, 2023

Rapport d'activité de la DGOM | 2022 | Mom - Ministère des Outre-mer

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Rapport d'activité de la DGOM | 2022 | Mom  Ministère des Outre-mer
Rapport d'activité de la DGOM | 2022 | Mom - Ministère des Outre-mer
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Monday, March 27, 2023

Une foule d'activités pour la Semaine des sciences humaines - L ... - L'Express - Drummondville

ÉVÉNEMENT. Du 17 au 21 avril prochain, le Cégep de Drummondville proposera une foule de conférences, documentaires et échanges dans le cadre de la Semaine des sciences humaines. Présentées sans frais, les activités seront accessibles non seulement aux membres de la communauté collégiale, mais également au grand public.

L’humain sera au cœur de la programmation de cette année. De ce fait, des sujets variés tels que le racisme sexuel, la participation sociale des populations vulnérables, la psychoéducation et le développement des enfants feront partie intégrante de la programmation, tantôt abordés par des conférenciers, tantôt par des finissants du programme Sciences humaines.

«Cette année, la participation de plusieurs programmes du cégep de même que d’autres acteurs de la communauté drummondvilloise viendront bonifier la programmation. En effet, plusieurs activités seront présentées en collaboration avec les programmes Techniques d’éducation à l’enfance, Techniques d’intervention en criminologie, Sciences de la nature, Techniques administratives, etc. Le programme Arts visuels collaborera également en présentant des œuvres de même que la Société d’histoire de Drummond, le Centre collégial d’expertise en gérontologie (CCEG) et plusieurs organismes de la région», souligne Julie Allard, enseignante au département des sciences humaines et responsable de la semaine d’activités.

Présentation d’un documentaire

Parmi les ateliers phares de la semaine, soulignons la présentation du documentaire En attendant Raif de Luc Côté et Patricio Henriquez, le mercredi 19 avril à 18 h 30 à la Salle Georges-Dor du Cégep de Drummondville. Ce récit tragique fait une incursion dans la vie d’Ensaf Haidar alors que nous la suivons livrer un combat inspirant dans le but de faire libérer son mari, le célèbre prisonnier Raif Badawi. Une discussion avec Mme Haidar aura d’ailleurs lieu toute de suite après la projection.

L’activité est offerte gratuitement à toute la population. Les places étant toutefois limitées, il est fortement recommandé de s’inscrire via ce lien : https://lepointdevente.com/billets/ixn230420001.

Une prolongation signée Jean-Marie Lapointe

Le bien connu, animateur, auteur, scénariste et conférencier, Jean-Marie Lapointe, sera au cégep le mardi 11 avril à 12 h 15 afin d’offrir sa conférence: Quand l’épreuve sert de tremplin. Bien que cette activité précède la semaine officielle, elle s’inscrit également dans la programmation de cette année.

Une expérience enrichissante

Pour les étudiantes et étudiants en Sciences humaines, cette semaine représente assurément une expérience enrichissante qui leur permet de s’ouvrir sur le monde et de partager le fruit de leurs recherches, de leurs observations, devant public.

La Semaine des sciences humaines est une réalisation du Département des sciences humaines du Cégep de Drummondville, en collaboration avec la Société Saint-Jean-Baptiste du Centre-du-Québec, le député de Drummond à la Chambre des communes, le député de Johnson à l’Assemblée nationale, l’Association des retraitées et retraités de l’éducation et des autres services publics du Québec (AREQ-CSQ), et le Syndicat des enseignantes et enseignants du Cégep de Drummondville.

Toute la population est invitée à prendre part aux nombreuses activités offertes. La programmation complète est disponible sur le site web du collège : https://www.cegepdrummond.ca/semaine-des-sciences-humaines/ (EL)

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RSA, APL, prime d'activité... Voici une bonne nouvelle de la CAF pour vos allocations - MoneyVox

APL, RSA, prime d'activité... Chaque année, des dizaines de milliers de particuliers ne réclament pas les aides sociales auxquelles ils peuvent pourtant prétendre. Voici ce qui va changer pour en bénéficier automatiquement.

La somme donne le tournis. Chaque année, les prestations sociales non réclamées à la Caisse d'allocations familiales (Caf) représentent 10 milliards d'euros. Un manque à gagner qui s'explique par le manque de connaissance des bénéficiaires potentiels.

Mais pas seulement. Il y a aussi la lourdeur de certaines démarches administratives. Dans le cas du RSA ou de la prime d'activité, où le taux de non-recours dépasse les 30%, il faut actualiser ses ressources tous les trimestres auprès de la Caf.

Demande simplifiée

Dans ce contexte, « le gouvernement annonce la mise en place d'un dispositif de demande simplifiée, dans l'objectif d'un « territoire zéro non-recours », suite aux tests menés dans plusieurs départements en 2022 », explique le site service-public.

Dans un premier temps, ce dispositif va porter sur le RSA, la prime d'activité et l'aide personnalisée au logement (APL). Ces trois aides bénéficient à 20 millions de personnes, soit 90% des allocataires.

« L'objectif est de s'inspirer de la logique de la déclaration fiscale préremplie, pour en finir autant que possible avec les chiffres à chercher et les justificatifs à rassembler. Les formulaires de demande et de renouvellement seront prérenseignés à partir des informations déclarées par les entreprises, et les allocataires n'auront plus qu'à les valider », avait récemment indiqué le ministre des Solidarités, Jean-Christophe Combe.

Lutter contre les indus et la fraude

Avec ce préremplissage des formulaires de demande et de renouvellement, le ministre compte bien lutter contre les indus, « ces situations dramatiques où l'on demande à des allocataires de rembourser tout ou partie de leurs prestations, car leurs ressources ont dans un premier temps été, de bonne foi, mal déclarées ». Pour près de 10% des Français, c'est cette peur des indus qui est à l'origine du phénomène de non recours.

Par ailleurs, « en matière de fraude, cette réforme permettra sans aucun doute de lutter contre les fausses représentations qui circulent régulièrement sur ce sujet, mais aussi de participer activement à son éradication définitive, ce fléau de la confiance contre lequel nous devons sans relâche innover », a fait savoir Jean-Christophe Combe.

Cette déclaration préremplie pour les allocataires « peut s'appuyer sur les données collectées par le dispositif de ressources mensuelles (DRM) qui sert de base au calcul des allocations », précise service-public.

Pour faciliter cette procédure de déclaration préremplie, une nouvelle ligne doit d'ailleurs être ajoutée sur le bulletin de salaire. Celle-ci doit mentionner le montant net social. Il s'agit du montant servant de référence au calcul des prestations sociales.

« Dès le mois d'avril 2023, le montant social net sera pris en compte dans le DRM afin qu'à l'horizon 2024, tout employeur soit en mesure de déclarer ce montant pour chaque salarié, à l'instar du revenu net imposable », indique service-public.

Petit salaire : ce nouveau bulletin de paie doit vous aider à toucher la prime de la CAF

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RSA, prime d'activité, APL… La Caf va verser automatiquement certaines aides, voici comment - Ouest-France

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Friday, March 24, 2023

CCI France dénonce l'impact des «manifestations violentes» sur l'activité des commerces - Le Figaro

En marge de la réforme des retraites, les Chambres de commerce et d'industrie déplorent les mobilisations «violentes» et les «blocages».

Les Chambres de commerce et d'industrie (CCI France) déplorent vendredi l'impact économique des manifestations «violentes» et des «blocages» sur l'activité des commerces, dont la dégradation est également «inacceptable», au lendemain d'une journée de mobilisation contre la réforme des retraites marquée par un regain de violences.

«Alors que des tensions et des heurts apparaissent dans plusieurs villes de France, les troubles et les blocages impactent l'activité des commerçants alors même que leur situation reste fragilisée dans un contexte économique délicat», dénonce CCI France dans un communiqué.

Les Chambres de commerce et d'industrie estiment qu'«après la crise sanitaire et dans une période marquée par l'inflation et les difficultés d'approvisionnements, nos commerçants ne peuvent pas se permettre de baisser le rideau», rappelant qu'en France, le commerce de proximité représente 634.000 entreprises pour 3,5 millions d'emplois. «Si faire grève est un droit, la dégradation des commerces est en revanche inacceptable et répréhensible. Les stigmates et les traces des violentes manifestations à Paris, et plus généralement dans nos centres-villes ces derniers jours, doivent nous alerter», met en avant le réseau.

«Le réseau des CCI demande la liberté de commercer et de circuler. Les commerces de proximité sont indispensables pour assurer les besoins essentiels de la population, mais aussi pour maintenir le lien social et la vie dans nos territoires. Le secteur est confronté à de profondes mutations. Ce n'est pas le moment de le pénaliser, il faut au contraire l'accompagner», souligne Alain Di Crescenzo, le président de CCI France. Mercredi, dans un communiqué, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises), avait déclaré que «le spectacle des troubles ou des blocages, en marge de manifestations responsables et pacifiques, inquiète les chefs d'entreprise qui craignent qu'une forme de désordre s'installe».

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CCI France dénonce l'impact des «manifestations violentes» sur l'activité des commerces - Le Figaro
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La France veut encadrer l'activité des influenceurs : que contient la proposition de loi ? - BDM

Le Gouvernement a annoncé ce vendredi une série de mesures visant à créer un cadre légal à l’activité d’influenceur. La proposition de loi, qui sera débattue le 28 mars prochain à l’Assemblée nationale, fait suite à plusieurs mois de concertation avec les agences d’influenceurs, les géants de la tech (Meta, YouTube, TikTok, etc.) et les autorités publiques et privées (Répression des fraudes, Autorité des marchés financiers, Autorité de régulation professionnelle de la publicité). On fait le point sur les différentes mesures.

La définition juridique du statut d’influenceur

Le statut d’influenceur fait l’objet d’un vide juridique en France. À ce jour, ce sont les règles du droit civil qui s’appliquent, mais celles-ci ne sont pas toujours adaptées. Ainsi, la proposition de loi souhaite introduire des définitions juridiques pour l’activité d’influence commerciale et pour le statut d’agence d’influenceur.

Par ailleurs, une attention particulière sera portée aux mineurs. Ainsi, 90 % des sommes perçues par les mineurs de moins de 16 ans seront consignées jusqu’à leur majorité. Pour les mineurs de plus de 16 ans souhaitant s’engager auprès d’une société d’influence commerciale, il sera nécessaire de faire signer le contrat de travail par les représentants légaux.

Des règles pour la publicité

La mise en place de règles relatives à la publicité fait partie des principales mesures avancées par le ministère. Pour le Gouvernement, la proposition est simple : les règles doivent être les mêmes pour les influenceurs et pour les médias traditionnels.

Pour les influenceurs comme partout ailleurs, la publicité doit être encadrée. Les règles qui s’appliquent sur le net doivent être les mêmes que dans les médias traditionnels.

Le Gouvernement insiste notamment sur certains bien et services, comme boissons alcoolisées, les produits financiers ou les paris sportifs. Les mentions légales devront également apparaître.

Une obligation de mentionner l’utilisation des filtres

Sur les contenus publicitaires, les influenceurs seront tenus de mentionner les photos retouchées, mais également l’utilisation de filtres. En outre, le Gouvernement souhaite interdire la promotion de la chirurgie esthétique. Ces propositions visent à éviter les « effets psychologiques dévastateurs pour l’estime et l’image des internautes, en particulier les plus jeunes ».

La mise en avant de standards de beauté inaccessibles faisait partie des motifs évoqués dans le cadre d’un proposition de loi débattue il y a quelques semaines à l’Assemblée nationale, visant à instaurer un accord parental sur les réseaux sociaux.

Une brigade de l’influence commerciale

En cas de manquement aux règles, les influenceurs pourraient faire face à une interdiction d’exercer. Afin de mieux identifier les pratiques frauduleuses, des associations recevront un statut spécial de « signaleurs de confiance ». Leurs signalement seront alors traités de manière accéléré. Par ailleurs, une « brigade de l’influence commerciale », abritée par la Direction générale de la concurrence, de la
consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) sera spécialement créée. La brigade sera en mesure de prononcer des sanctions, de fermer des comptes et de saisir un juge.

Mais le Ministère a également l’intention de responsabiliser les plateformes. Ces dernières seront tenues de créer des « dispositifs clairs et lisibles pour afficher le caractère commercial d’une publication », et seront responsables en cas d’inaction après un signalement.

Un guide de bonne conduite

En complément du projet de loi, le Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique a partagé un document à destination des influenceurs et de leurs agences. Le dossier, intitulé Guide de bonne conduite,
Influenceurs et créateurs de contenus : L’essentiel de vos droits et devoirs, vise à mettre à disposition des créateurs diverses informations relatives à leur activité. Le document évoque notamment la déclaration de l’activité, les droits et les devoirs de l’influenceur, ainsi que les éventuelles sanctions auxquelles il s’expose.

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Wednesday, March 22, 2023

Une activité Ça marche Doc! à Lévis ce samedi - Le journal de Lévis

Ça marche Doc! sera de retour à Lévis cette fin de semaine. Une marche tenue dans le cadre de l'initiative aura lieu le 25 mars, au départ du parc de l’Anse-Tibbits.

L'événement aura lieu beau temps, mauvais temps et le départ de la marche sera donné à 10h. Les personnes intéressées à participer à l'activité sont priées de se rassembler dans le stationnement du parc de l'Anse-Tibbits (parc Saint-Laurent).

Lors de la marche du 25 mars, la Dre Ethet Higgins sera le médecin invité et abordera l'importance de la marche comme «une alliée pour la santé physique et psychologique».

Rappelons que Ça marche Doc!, lancé en septembre 2016, propose des marches hebdomadaires, tous les samedis matin, d’octobre à mai. À ces occasions, un expert de la santé accompagne les citoyens dans une courte marche «durant laquelle on s’intéresse aux éléments sains et malsains de notre environnement». 

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Tuesday, March 21, 2023

Des résidents préoccupés par l’activité industrielle - Radio-Canada.ca

Un rapport publié mardi par l’organisme Manitoba Eco-Network détaille les inquiétudes de résidents face à la pollution industrielle à Winnipeg, notamment dans les quartiers de Saint-Boniface et Point Douglas. L’exposition « À main levée » de Rosemarie Péloquin est en exposition à Portage la Prairie jusqu’au 30 mars. La tournée de Chant’ouest 2023 commence mardi soir à Winnipeg.

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Bourse: ce qui bouge sur les marchés avant l'ouverture vendredi - LesAffaires.com

REVUES DES MARCHÉS. Les Bourses européennes évoluent en baisse vendredi, déçues par la publication d’indicateurs montrant un essoufflement...