Les Lavaltrois pourront bientôt profiter de la magie de l’hiver alors que la 21e édition de la Féerie d’hiver aura lieu du 2 au 4 février dans plusieurs lieux de la ville comme le parc Gérard-Lavallée, le Boisé du Chemin du Roy, la Place du 350e, la Maison des contes et légendes ainsi que l’école secondaire de la Rive.
Le coup d’envoi des festivités aura lieu au
parc Gérard-Lavallée à compter de 19 h.
Pour l’occasion, un DJ sera sur place pour enflammer le site alors que les festivaliers pourront danser sous les flocons.
Le tout sera suivi d’un feu d’artifice dès 20 h.
Les personnes présentes pourront aussi se divertir avec des glissades sur tube, des jeux gonflables, de l’escalade sur neige, du patin, un parcours extrême, de la pêche sur glace, des animations déambulatoires, des mascottes et beaucoup plus.
C’est au cours de la soirée de vendredi que débutera le tournoi annuel de hockey-bottines au parc Gérard-Lavallée.
Cet événement réunira sept équipes d’entreprises de Lavaltrie pour une compétition amicale.
Ensuite, les activités se poursuivront le lendemain au Boisé du Chemin du Roy puisque la population est invitée à explorer les sentiers en fatbike ou en trottinette sur neige, et ce, en plus de participer au défi et concours Cherche et trouve.
La Place du 350e sera un lieu où la créativité règnera grâce à une activité de sculpture sur neige en compagnie de l’artiste Michel Campeau.
Du tir à l’arc et des compétitions de jeux géants seront aussi de la partie.
Afin de clôturer cette édition
de la Féerie d’hiver, les Chevaliers de Colomb tiendront un déjeuner, servi par les élus municipaux le 4 février à partir de 9 h.
Un bingo familial organisé par les membres de la FADOQ de Lavaltrie viendra agrémenter cette dernière activité.
N.D.L.R. Le texte qui suit fait partie d’un dossier rédigé dans le cadre du cahier thématique dont le thème est : Les mines, portes ouvertes vers le nord publié dans notre édition du mois de janvier.
SAGUENAY – Bien que le Saguenay–Lac-Saint-Jean ne soit pas officiellement reconnu comme étant un territoire minier, il se distingue par son potentiel dans ce domaine. Certaines entreprises pensent que la région pourrait devenir un fournisseur majeur en raison du nombre d’activités sur le territoire ainsi que la présence abondante de ressources.
« On mentionne souvent que nous ne sommes pas une région minière, mais nous avons tout de même une mine en activité comparativement à Chibougamau, qui pourtant est un territoire minier reconnu. Rappelons que la mine Niobec, c’est plus de 500 emplois, c’est une filière de développement, mettant de l’avant l’extraction et la transformation. L’indicateur est principalement la quantité de claims récoltés région et en matière d’exploration, ça va plus que bien. Nous n’avons jamais vu autant de prise de claims depuis presque deux ans », mentionne Christian Tremblay, géologue et professionnel de recherche à la TRCM.
« La demande actuelle est fortement orientée vers le lithium, mais les métaux de base tels que le cuivre et le nickel jouent également un rôle crucial, notamment dans la transition énergétique. Dans le cas du lithium, on prévoit une demande mondiale importante dans les prochaines années, créant ainsi un défi majeur : une production limitée, mais une demande en explosion », ajoute M. Tremblay.
Support aux prospecteurs
En ce qui concerne la prospection de base, plusieurs activités se sont poursuivies en 2023. Ce sont une dizaine de projets d’exploration qui ont été visités, permettant la mise à jour de deux nouveaux indices. L’Association des prospecteurs du Saguenay–Lac-Saint-Jean, soutenue par la Table régionale de concentration minière (TRCM), a permis quant à elle, la découverte de trois nouveaux indices l’an dernier.
« Le camp de terrain en exploitation, organisé chaque année, agit comme un guide pour les prospecteurs, ciblant un secteur différent avec divers types de minéraux. Cette initiative offre une perspective sur les avancées en matière d’acquisition de connaissances, les découvertes récentes et l’accessibilité du territoire », mentionne M. Tremblay.
La présence d’un géologue est essentielle pour certifier les travaux de terrain et valider les découvertes des prospecteurs, qui, bien que passionnés de minéraux, ne sont pas des géologues professionnels. Un laboratoire est mis à la disposition des prospecteurs pour l’analyse des échantillons, pris en charge par la TRCM.
Prospection avancée
Les entreprises d’exploration ont été occupées l’année dernière, selon l’infolettre de décembre 2023, publiée par la Table régionale de concertation minière il y a quelques semaines. First Phosphate a pour sa part réalisé 20 forages sur la propriété de Bégin-Lamarche au début de 2023, recoupant les horizons enrichis en phosphore. L’entreprise souhaite poursuivre les forages sur cette propriété afin de préciser le volume et la teneur du dépôt.
La Société québécoise en exploration minière (SOQUEM) a poursuivi ses travaux en 2023 sur ces différents projets : le lac du Curé, celui de Génération Chibougamau, Beauregard, Olbers et récemment le projet Cardinal. Métaux BlackRock a dû céder son projet de fer-titane-vanadium à Strategic Resources en raison d’importantes difficultés financières. La nouvelle entreprise poursuit donc le projet de complexe métallurgique de ferrovanadium à Grande-Anse.
Arianne Phosphate cherche toujours le financement et les marchés pour son projet de mine de phosphate du Lac à Paul. Rappelons que l’entreprise travaille en parallèle avec des groupes de recherche sur le développement d’engrais organiques prometteurs. Pour ce qui est des Métaux Niobay, la compagnie a amorcé une campagne de forage en août 2023 dans la continuité de sa campagne de 2022 réalisée pour tester une hypothèse sur la fertilité de roches.
Mentionnons que plusieurs autres compagnies possèdent d’importants blocs de claims en région, cet article mentionne seulement les entreprises capitales. Ces principales organisations sont d’ailleurs détaillées davantage aux pages 16 et17 du journal.
« Une mine, on ne peut pas la déplacer ; on la recherche, on la découvre, puis on s’adapte aux diverses contraintes. Les entreprises adoptent une approche stratégique, choisissant soigneusement où s’établir, là où les ressources sont présentes ou potentiellement trouvables. La TRCM s’efforce de découvrir ces ressources et de promouvoir le territoire, souvent méconnu, afin de mettre en valeur son potentiel », conclut Christian Tremblay.
Une toute nouvelle activité sera proposée prochainement à Beauharnois pour les citoyens intéressés. Celle-ci se tiendra au Musée québécois d'archéologie de la Pointe-du-Buisson où petits et grands pourront venir marcher le long du sentier de l'endroit.
Plus précisément, c'est une balade de 1,3 km que devront faire les participants lors de ces marches illuminées qui se tiendront chaque vendredi de février de 18h30 à 20h. En plein cœur du parcours, ils auront l'occasion de profiter d'un conte ludique autour d'un feu de camp.
Cette promenade est conçue pour être autonome et se veut un événement familial. Les intéressés pourront louer des raquettes au Musée au coût de 7$.
Les inscriptions débutent le 25 janvier. Les personnes intéressées doivent réserver leur place via ce lien: https://ift.tt/mapbyFJ. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au jeudi d'avant. Deux départs sont proposés, soit à 18h30 ou à 19h15.
Le CCSE Maisonneuve est un organisme à but non lucratif qui s’investit activement depuis plus de cinquante ans dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, l’Est de la ville et l’ensemble de l’Île de Montréal par son implication sociale auprès de la communauté. Le CCSE Maisonneuve, composé de plus de 2000 membres, a pour mission de créer un milieu de vie où la personne réalise son plein potentiel par le moyen d’activités de loisir.
Le CCSE Maisonneuve vise à offrir des activités stimulantes, diversifiées et enrichissantes permettant aux enfants de 5 à 12 ans un apprentissage dans un environnement sécuritaire et adapté à leurs besoins. Il promeut l’autonomie, le respect et le « vivre ensemble », en plus de permettre aux jeunes de s’impliquer dans leur milieu.
POSTE OFFERT : Spécialiste activité cuistot
Tu es passionné(e) par le domaine de la cuisine? Tu as envie de transmettre et de partager ta passion aux enfants? Dynamique et à l’écoute, tu as envie de t’investir dans une belle aventure humaine?
Envoie ta candidature dès maintenant afin de pouvoir avoir la chance de faire partie de notre escouade communautaire !
Sous le statut « travailleur autonome »; relevant de la Coordonnatrice et de la responsable du secteur enfance, le/la spécialiste de l’activité Cuistot participe à l’organisation et l’animation des sessions au sein du CCSE Maisonneuve.
Tâches
Planifier, organiser et animer des activités sécuritaires et adaptées en fonction des groupes d’âge des participant(e)s (enfants entre 5 et 12 ans);
Création de plusieurs projets utilisant différents supports;
Accompagner, participer et encadrer les jeunes lors de l’activité;
Encadrer de façon sécuritaire le groupe pris en charge tout en assurant une vie de groupe intense et stimulante, où toutes et tous sont intégré(e)s et respecté(e)s;
Transmettre ta passion aux enfants en offrant un cadre jovial et valorisant;
Être force de proposition pour développer l’activité au sein de notre organisation.
Exigences spécifiques à l’emploi
Connaissance et appétence dans le domaine de la cuisine;
Volonté d’apprendre et de transmettre ta passion aux autres;
Capacité à construire et animer des séances en lien avec les sciences pour un public multi-cible;
Expérience en animation auprès des enfants âgés entre 5 et 12 ans;
N’avoir aucun empêchement judiciaire en lien avec l’emploi (la vérification sera faite);
Connaissance du milieu communautaire;
Adaptabilité, fiabilité, sens des responsabilités, autonomie, initiative et sens de l’organisation;
Dynamisme, ponctualité et créativité;
Bonne capacité à travailler en équipe et aptitudes à travailler avec le public;
Capacité à s’exprimer clairement et dans un bon français;
Conditions de travail
Horaire de travail : Lundi, Mercredi et jeudi de 16h45 à 17h45
Le CCSE Maisonneuve est un organisme à but non lucratif qui s’investit activement depuis plus de cinquante ans dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, l’Est de la ville et l’ensemble de l’Île de Montréal par son implication sociale auprès de la communauté. Le CCSE Maisonneuve, composé de plus de 2000 membres, a pour mission de créer un milieu de vie où la personne réalise son plein potentiel par le moyen d’activités de loisir.
Le CCSE Maisonneuve vise à offrir des activités stimulantes, diversifiées et enrichissantes permettant aux enfants de 5 à 12 ans un apprentissage dans un environnement sécuritaire et adapté à leurs besoins. Il promeut l’autonomie, le respect et le « vivre ensemble », en plus de permettre aux jeunes de s’impliquer dans leur milieu.
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Tâches
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Création de plusieurs projets utilisant différents supports;
Accompagner, participer et encadrer les jeunes lors de l’activité;
Encadrer de façon sécuritaire le groupe pris en charge tout en assurant une vie de groupe intense et stimulante, où toutes et tous sont intégré(e)s et respecté(e)s;
Transmettre ta passion aux enfants en offrant un cadre jovial et valorisant;
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Exigences spécifiques à l’emploi
Connaissance et appétence dans le domaine de la cuisine;
Volonté d’apprendre et de transmettre ta passion aux autres;
Capacité à construire et animer des séances en lien avec les sciences pour un public multi-cible;
Expérience en animation auprès des enfants âgés entre 5 et 12 ans;
N’avoir aucun empêchement judiciaire en lien avec l’emploi (la vérification sera faite);
Connaissance du milieu communautaire;
Adaptabilité, fiabilité, sens des responsabilités, autonomie, initiative et sens de l’organisation;
Dynamisme, ponctualité et créativité;
Bonne capacité à travailler en équipe et aptitudes à travailler avec le public;
Capacité à s’exprimer clairement et dans un bon français;
Conditions de travail
Horaire de travail : Lundi, Mercredi et jeudi de 16h45 à 17h45
Une centaine de personnes se sont réunies mardi soir à L’Isle Verte pour rendre hommage aux 32 victimes de l’incendie de la résidence du Havre survenu il y a maintenant 10 ans.
Des dizaines de citoyens se sont mêlés à plusieurs premiers répondants de l’époque, dont des membres des services de sécurité incendie de Trois-Pistoles, Rivière-du-Loup et Saint-Paul-de-la-Croix, afin de souligner la mémoire des disparus. Une marche de quelques minutes, menée par une gerbe de fleurs composée de 32 roses blanches, a débuté à la caserne de la municipalité pour se terminer devant le mémorial érigé aux abords de l’église. La commémoration a pris fin après une courte allocution et un bref moment de recueillement.
Rencontré sur place, Bruno Bélanger, organisateur de l’événement et président de la Corporation Les Amis des Ainés de L’Isle-Verte, est une fois de plus revenu sur l’importance de célébrer la mémoire de ceux qui ont perdu la vie dans cette tragédie. Il partage aussi le sentiment de ceux qui sont maintenant prêts à tourner la page.
Manger est une activité si simple. On pique les aliments, on mâche, les saveurs inondent notre bouche, on avale, on recommence. On y réfléchit si peu qu’on peut le faire en même temps que mille et une autres choses: discuter, lire, écouter la télé, marcher, travailler.
Pourtant, quand on s’alimente, notre cerveau travaille aussi fort que nos muscles pour assurer leur synchronisation à partir du moment où l’on porte la nourriture à la bouche, qu’on la mâche et que l’on commence à l’avaler.
Fonction vitale, la mastication appartient à la catégorie des mouvements dits rythmiques, comme la respiration et la locomotion. Ce sont des mouvements répétitifs qui peuvent être intentionnellement déclenchés, accélérés, ralentis ou même arrêtés, mais qui, autrement, s’exécutent de façon automatique, sans demander d’attention.
Arlette Kolta, professeure au Département de stomatologie et au Département de neurosciences de l’Université de Montréal, s’intéresse au contrôle des mouvements rythmiques oraux de la mastication.
Avec son étudiant de doctorat Dominic Falardeau, elle a récemment publié une revue de la littérature pour décrire les mécanismes derrière la «machinerie masticatoire».
Un engrenage bien huilé
Dominic Falardeau
Crédit : Courtoisie
Comme tous les mouvements rythmiques sont organisés de façon similaire dans le cerveau, les membres du laboratoire d’Arlette Kolta cherchent à comprendre comment fonctionne précisément la mastication pour ultimement faire la lumière sur les autres mouvements.
Leurs recherches nous apprennent que le comportement alimentaire implique une organisation complexe de circuits neuronaux et de voies interreliées entre le cortex cérébral, le tronc cérébral et les muscles.
Quand la nourriture entre en contact avec la bouche, les récepteurs parodontaux sous les dents et les fuseaux neuromusculaires dans les muscles de la mâchoire captent les informations sensorielles et les transmettent au noyau sensoriel principal du nerf trijumeau et à un réseau d’interneurones prémoteurs dans le tronc cérébral. Ces régions du cerveau régulent l’activité des motoneurones qui à leur tour commandent les muscles d’ouverture et de fermeture de la mâchoire.
Bien qu’ils semblent répétitifs et analogues d’un cycle à l’autre, les mouvements masticatoires s’adaptent de manière très précise à la consistance et à la position de la nourriture dans la bouche afin d’optimiser le broyage et le déplacement du bol alimentaire. Les informations sensorielles relatives aux aliments sont alors essentielles pour orienter leur position dans la bouche et moduler la force appliquée par les muscles masticateurs, comme le masséter et le muscle temporal.
«Ces informations deviennent une rétroaction qui permet d’adapter le mouvement à chacun des cycles, puisqu’on ne mastique pas de la même façon selon le type de nourriture», indique Dominic Falardeau.
Ensuite, lorsque les aliments ont été suffisamment mastiqués et mêlés à la salive, la langue et plusieurs muscles situés dans le pharynx, le larynx et l’œsophage coordonnent leur activité pour la phase de déglutition. Pour avaler et, surtout, pour éviter l’étouffement si les aliments sont aspirés par la trachée, il faut une synchronisation de la contraction séquentielle des muscles, régie par un réseau neuronal situé dans le bulbe rachidien.
Mâcher, c’est bon pour le cerveau?
Arlette Kolta
Crédit : Courtoisie
Avec leur revue de la littérature, Arlette Kolta et Dominic Falardeau nous font réaliser que le geste masticatoire est une activité cérébrale importante. «Plus nous en apprenons sur les circuits responsables de la coordination de la mastication et d’autres comportements orofaciaux, plus la complexité de ces circuits apparaît», note la professeure.
Elle ajoute que la mastication – comme tous les mouvements rythmiques – apporterait divers bienfaits, notamment une amélioration de la vigilance et de l’attention. D’abord parce que ces mouvements augmentent l’activité de certains neurotransmetteurs qui jouent un rôle dans l’éveil. Ensuite parce que le mouvement masticatoire imprime un rythme thêta à l’échelon de l’hippocampe, une activité électrique du cerveau associée à l’apprentissage et à la mémoire.
Aussi, la mastication augmente l’activité vasculaire du cerveau, donc l’oxygénation des cellules, particulièrement dans des régions d’importance pour la cognition. D’ailleurs, des études animales montrent clairement qu’une perte cognitive est associée à l’ingestion d’aliments liquides en comparaison d’aliments solides même lorsque leur teneur nutritionnelle est équivalente.
Mâcher de la gomme pourrait donc être une bonne idée?
«Des professeurs ont constaté que donner de la gomme à des élèves aux prises avec un trouble déficitaire de l’attention les aidait à se concentrer pendant un examen. Mais il ne s’agit ici que d’un avantage sur le plan neurologique. Oui, le fait de mâcher de la gomme favorise l’attention et l’éveil, mais il faut aussi considérer l’usure des articulations temporo-mandibulaires et des dents, le sucre ingéré, voire les risques de l’aspartame», nuance Arlette Kolta.
ÉDUCATION. L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) tiendra une activité de type portes ouvertes sur le campus de Drummondville le mercredi 7 février, de 17 h à 20 h.
Événement incontournable et fortement apprécié de ceux et celles qui désirent en connaître davantage sur l’UQTR, les Portes ouvertes demeurent une formule efficace pour explorer les nombreux programmes offerts tout en goûtant, pendant quelques heures, à l’accueil chaleureux et à l’ambiance conviviale qui font partie de l’ADN de l’UQTR.
Des membres du corps professoral, ainsi que du personnel provenant de plusieurs services essentiels à la réussite et à l’épanouissement de la clientèle étudiante, animeront des kiosques d’information et répondront aux questions des visiteurs. Des étudiants actuels seront aussi présents pour témoigner de leur expérience à l’UQTR.
Lors des portes ouvertes, il sera par ailleurs possible d’effectuer une demande d’admission gratuitement sur place (sous certaines conditions).
L’inscription préalable à ces activités est fortement recommandée. Il est toutefois de la responsabilité des visiteurs de consulter la page Choisir UQTR à l’adresse https://www.uqtr.ca/choisiruqtr afin de s’assurer que les programmes qui les intéressent sont bel et bien offerts à l’un ou l’autre des campus.
Pas moins de 18 programmes d’études sont proposés sur le campus drummondvillois, dans le domaine des sciences de l’administration de la santé, de l’éducation et sociales (intervention) ainsi que le génie.
À l’automne, 1393 étudiants étaient inscrits à Drummondville, ce qui représente une hausse de 1,3 %. (EL)
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Un seul navire est actuellement en activité à la traverse Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine en raison de problèmes techniques, selon ce qu’indique la Société des traversiers du Québec (STQ) par alerte.
Les départs auront lieu aux 40 minutes à partir de chaque rive.
Le retour à la normale sera communiqué dès que possible.
De 35 femmes faisant partie du club lors de ses balbutiements en 2012, elles sont désormais 200 au sein de la treizième cohorte, douze ans plus tard. Celles-ci proviennent de toutes les régions du Québec et de tous les horizons. L’idée est d’abord et avant tout de prendre plaisir à bouger, sans obligation de performance.
Quand les femmes s’activent
L’histoire des Roses est intimement liée à celle des Défis du Parc, il va donc de soi que celles-ci participent aux deux volets de la compétition, tout d’abord la version hivernale avec un duathlon nordique en février, puis l’édition classique prévue pour le mois de septembre. Lors de cette seconde épreuve, la dernière de la saison de l’association, les sportives auront pour tâche de faire un parcours de 57 km à vélo combiné à une course en sentier de 7 km.
Dre Chantal Guimont et Marie-Josée Gervais, cofondatrice des Roses. (Sylvain Mayer/Le Nouvelliste)
«Il y avait très peu de femmes qui participaient aux Défis du Parc et avec Chantal [Guimont], on s’est dit ‘’on veut qu’il y ait plus de femmes qui participent’' et on a parti le mouvement Les Roses», explique Marie-Josée Gervais, fondatrice à la fois de l’épreuve sportive se tenant au parc national de la Mauricie et de l’équipe féminine.
Mme Gervais a d’ailleurs tiré sa révérence l’an dernier après 16 ans à la direction générale des Défis, tout en restant active au sein de leur organisation. L’ancienne cycliste professionnelle demeure toutefois à la barre des Roses aux côtés de Dre Chantal Guimont, médecin de famille et passionnée de plein air.
«C’est le plaisir de s’entraîner pour se sentir plus énergique et détendue, dans un environnement sécuritaire, inclusif et sans jugement», souligne cette dernière. «On n’a pas de standards à rencontrer», renchérit sa complice Marie-Josée Gervais.
Tout au long de l’année, les Roses sont prises en charge par une équipe d’entraînement chevronnée et ont accès à des outils diversifiés pour se préparer aux différentes épreuves. Des rencontres mensuelles sont organisées, mais aussi des séances de yoga, de musculation, de méditation, sans oublier une mise à disposition de ressources virtuelles comme des balados sur la course à pied, par exemple.
Pour sa part, le maire de Shawinigan, Michel Angers, s’enorgueillit de pouvoir héberger une telle association dans la municipalité. Celui-ci ne se cache pas d’accorder beaucoup d’importance à l’activité physique et au plein air et d’espérer que ces concitoyens s’inspirent d’initiatives comme Les Roses.
«C’est une grande fierté de voir toutes ces femmes d’ici et d’ailleurs au Québec venir s’entraîner chez nous. Depuis longtemps, nous le crions haut et fort, c’est ici, à Shawinigan, que se trouve le plus beau terrain de jeu pour les cyclistes.»
— Michel Angers, maire de Shawinigan
En tournée au Québec
Si Shawinigan demeure la base d’entraînement du club sportif, celui-ci pourra également être aperçu à différents endroits de la province au cours de l’année. Après leur participation aux Défis du Parc – Nordique en février, Les Roses se déplaceront du côté de Trois-Rivières en mai pour l’événement Une fille qui court où elles sillonneront 10 km.
Le maire de Shawinigan, Michel Angers, s’enorgueillit de pouvoir héberger une association comme Les Roses dans la municipalité. (Sylvain Mayer/Le Nouvelliste)
La présidente de ce rendez-vous trifluvien, Catherine Morasse, s’implique aussi auprès de l’équipe féminine à titre de coach de course à pied. «C’est par nos valeurs communes de plaisir, de dépassement de soi, de partage, de respect et de sororité que Les Roses et Une fille qui court donnent aux femmes confiance de s’ouvrir aux possibilités», expose-t-elle.
«Notre véhicule est l’activité physique, mais notre mission est encore bien plus grande. Notre impact sera immense, la santé est si précieuse. C’est en investissant dans la prévention de celle-ci que nous sommes, au final, toutes rassemblées», poursuit celle qui pratique également la kinésiologie.
Les Roses se rendront ensuite en Estrie pour une journée d’activités sur deux roues au Centre national de cyclisme de Bromont. Sur place, elles auront la chance de s’initier au BMX, au vélo de montagne, au gravel bike et de faire l’essai du vélodrome. «Ce sera une première pour eux d’accueillir autant de femmes en même temps dans leur centre, ça va être magique», révèle Marie-Josée Gervais.
Un entraînement qui devrait leur servir, puisqu’elles enchaîneront deux semaines plus tard avec une participation à Bécancour à vélo où elles pourront pédaler sur un parcours de 31 km créé spécifiquement pour l’équipe.
«On avait la conviction, dans le comité organisateur, qu’on devait avoir un circuit médian entre le 17 km et le 58 km. On a eu un contact avec les gens des Roses et on a décidé de configurer un parcours spécialement pour elles.»
— Stéphane Béraud, président de Bécancour à vélo
Avant de clore la saison avec la seconde épreuve des Défis du Parc en septembre, Les Roses participeront à la dixième édition du Triathlon Duchesnay qui aura lieu en août à Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier dans la Capitale-Nationale. «Voir les Roses sur notre événement, quelle fierté et quelle association naturelle», s’enthousiasme l’organisateur du rendez-vous sportif, Francis Bachand.
De 35 femmes faisant partie du club lors de ses balbutiements en 2012, elles sont désormais 200 au sein de la treizième cohorte, douze ans plus tard. Celles-ci proviennent de toutes les régions du Québec et de tous les horizons. L’idée est d’abord et avant tout de prendre plaisir à bouger, sans obligation de performance.
Quand les femmes s’activent
L’histoire des Roses est intimement liée à celle des Défis du Parc, il va donc de soi que celles-ci participent aux deux volets de la compétition, tout d’abord la version hivernale avec un duathlon nordique en février, puis l’édition classique prévue pour le mois de septembre. Lors de cette seconde épreuve, la dernière de la saison de l’association, les sportives auront pour tâche de faire un parcours de 57 km à vélo combiné à une course en sentier de 7 km.
Dre Chantal Guimont et Marie-Josée Gervais, cofondatrice des Roses. (Sylvain Mayer/Le Nouvelliste)
«Il y avait très peu de femmes qui participaient aux Défis du Parc et avec Chantal [Guimont], on s’est dit ‘’on veut qu’il y ait plus de femmes qui participent’' et on a parti le mouvement Les Roses», explique Marie-Josée Gervais, fondatrice à la fois de l’épreuve sportive se tenant au parc national de la Mauricie et de l’équipe féminine.
Mme Gervais a d’ailleurs tiré sa révérence l’an dernier après 16 ans à la direction générale des Défis, tout en restant active au sein de leur organisation. L’ancienne cycliste professionnelle demeure toutefois à la barre des Roses aux côtés de Dre Chantal Guimont, médecin de famille et passionnée de plein air.
«C’est le plaisir de s’entraîner pour se sentir plus énergique et détendue, dans un environnement sécuritaire, inclusif et sans jugement», souligne cette dernière. «On n’a pas de standards à rencontrer», renchérit sa complice Marie-Josée Gervais.
Tout au long de l’année, les Roses sont prises en charge par une équipe d’entraînement chevronnée et ont accès à des outils diversifiés pour se préparer aux différentes épreuves. Des rencontres mensuelles sont organisées, mais aussi des séances de yoga, de musculation, de méditation, sans oublier une mise à disposition de ressources virtuelles comme des balados sur la course à pied, par exemple.
Pour sa part, le maire de Shawinigan, Michel Angers, s’enorgueillit de pouvoir héberger une telle association dans la municipalité. Celui-ci ne se cache pas d’accorder beaucoup d’importance à l’activité physique et au plein air et d’espérer que ces concitoyens s’inspirent d’initiatives comme Les Roses.
«C’est une grande fierté de voir toutes ces femmes d’ici et d’ailleurs au Québec venir s’entraîner chez nous. Depuis longtemps, nous le crions haut et fort, c’est ici, à Shawinigan, que se trouve le plus beau terrain de jeu pour les cyclistes.»
— Michel Angers, maire de Shawinigan
En tournée au Québec
Si Shawinigan demeure la base d’entraînement du club sportif, celui-ci pourra également être aperçu à différents endroits de la province au cours de l’année. Après leur participation aux Défis du Parc – Nordique en février, Les Roses se déplaceront du côté de Trois-Rivières en mai pour l’événement Une fille qui court où elles sillonneront 10 km.
Le maire de Shawinigan, Michel Angers, s’enorgueillit de pouvoir héberger une association comme Les Roses dans la municipalité. (Sylvain Mayer/Le Nouvelliste)
La présidente de ce rendez-vous trifluvien, Catherine Morasse, s’implique aussi auprès de l’équipe féminine à titre de coach de course à pied. «C’est par nos valeurs communes de plaisir, de dépassement de soi, de partage, de respect et de sororité que Les Roses et Une fille qui court donnent aux femmes confiance de s’ouvrir aux possibilités», expose-t-elle.
«Notre véhicule est l’activité physique, mais notre mission est encore bien plus grande. Notre impact sera immense, la santé est si précieuse. C’est en investissant dans la prévention de celle-ci que nous sommes, au final, toutes rassemblées», poursuit celle qui pratique également la kinésiologie.
Les Roses se rendront ensuite en Estrie pour une journée d’activités sur deux roues au Centre national de cyclisme de Bromont. Sur place, elles auront la chance de s’initier au BMX, au vélo de montagne, au gravel bike et de faire l’essai du vélodrome. «Ce sera une première pour eux d’accueillir autant de femmes en même temps dans leur centre, ça va être magique», révèle Marie-Josée Gervais.
Un entraînement qui devrait leur servir, puisqu’elles enchaîneront deux semaines plus tard avec une participation à Bécancour à vélo où elles pourront pédaler sur un parcours de 31 km créé spécifiquement pour l’équipe.
«On avait la conviction, dans le comité organisateur, qu’on devait avoir un circuit médian entre le 17 km et le 58 km. On a eu un contact avec les gens des Roses et on a décidé de configurer un parcours spécialement pour elles.»
— Stéphane Béraud, président de Bécancour à vélo
Avant de clore la saison avec la seconde épreuve des Défis du Parc en septembre, Les Roses participeront à la dixième édition du Triathlon Duchesnay qui aura lieu en août à Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier dans la Capitale-Nationale. «Voir les Roses sur notre événement, quelle fierté et quelle association naturelle», s’enthousiasme l’organisateur du rendez-vous sportif, Francis Bachand.
Depuis 25 ans, le volet gourmand de Montréal en Lumière met en valeur les chefs internationaux et permet à la cuisine québécoise et aux produits locaux de rayonner mondialement.
Voici 6 évènements à ne pas manquer pour l'occasion!
Des chefs étoilés à découvrir à Montréal
Du 22 février au 10 mars, vous pourrez retrouver pas moins de 25 chefs connus mondialement dans les meilleurs restaurants de Montréal. Le chef Emmanuel Pilon (trois étoiles MICHELIN, Le Louis XV - Alain Ducasse à Monaco) s’invitera au Mastard, le chef Julien Royer (trois étoiles MICHELIN), premier chef de Singapour à se déplacer au festival, s’établira au Monarque, le chef écoresponsable Glenn Viel (trois étoiles et une étoile verte) sera reçu à la Maison Boulud avec Daniel Boulud, et plus encore.
Au menu durant ces deux fins de semaine (1er au 3 mars et 8 et 9 mars) : une journée consacrée à la cuisine autochtone (3 mars), des démonstrations culinaires et dégustations, des 5 à 7 présentés par la SAQpour la découverte des alcools québécois, dont celui du 2 mars avec la Distillerie de Montréal qui bénéficie d’une prolongation exceptionnelle pour la Nuit blanche.
C'est le 25e anniversaire après tout! Pour l'occasion, participez à une foule de nouvelles acitivités gourmandes :
Les soirées gastronomiques 25 ans x 25 services présentées par Polestar : un parcours sensoriel et gustatif à ne pas manquer.
Un Souper 90 ans d'Air France : Les 23 et 24 février, les chefs Pasquale Vari, Olivier Perret et les brigades du Renoir et de l'ITHQ vous proposent d'expérimenter l’élégance et l’art de la gastronomie en savourant le menu servi en classe affaires sur tous les vols canadiens vers Paris.
Les Brunchs en Lumière : les noctambules pourront terminer leur Nuit blanche en beauté attablés à un des 25 restaurants participants.
Les Apéros Montréal en Lumière présentés par Authentic Vins et Spiritueux mettront les vins italiens à l’honneur.
La série Balado, « Ça s’est passé à Saint-Damien », qui met en avant le récit des aînés du village de Saint-Damien a été sélectionnée au festival Longueur d’onde à Brest, en France. Les lauréats seront annoncés le 11 février.
Dans le même temps, la Corporation de développement de Saint-Damien a le plaisir d’inviter toute la population à l’activité de clôture de ce projet.
Joignez-vous à nous le dimanche 28 janvier à 14h au nouvel Espace culturel (2080 rue Taschereau, St-Damien) pour découvrir ensemble les récits audio des aînés du village de Saint-Damien sous la forme de deux épisodes thématiques: Habiter le territoire et Nos aînés aujourd’hui.
Pour comprendre l’histoire du lieu et déployer l’avenir de la municipalité, une équipe composée d’artistes sonores, citoyens engagés et 3 aînés ambassadeurs est partie à la rencontre des personnes aînées qui y ont grandi, et qui, pour certains. habitent encore à Saint-Damien. Ils nous racontent leurs histoires, de la petite enfance, jusqu’à la vie quotidienne actuelle. À travers leurs voix saisissantes, sensibles et éclairantes, c’est le portrait d’un Québec rural en pleine transformation qui se dresse.
Plus qu’une simple série Balado disponible pour les adeptes de ce genre de média numérique, Ça s’est passé à Saint-Damien se veut un outil innovant de médiation sociale et culturelle qui, de part sa diffusion lors de plusieurs activités rassembleuse, fait le pont entre les générations, les aînés des villages voisins et les nouveaux arrivants.
Les deux co-réalisateurs et artistes sonores, Thibaut Quinchon et Gabrielle Harnois-Blouin, se sont assis avec eux afin d’écouter leurs histoires. Ils nous racontent ce qu’était la vie à la ferme, la manière dont ils ont grandi et joué dans les rues ou encore à quoi ressemblait la vie d’un écolier qui devait se rendre à pied à son école de rang. Tous ces témoignages sont accompagnés par la musique originale du musicien guitariste Jean-Sébastien Ricard. Les trois artistes damiennois ont collaboré afin de mettre en lumière la richesse des récits des ainés et tenter de s’imprégner de l’histoire du territoire qu’ils habitent maintenant. Se dévoile ainsi le mode de vie artisanal qu’ont connu les différents participants. Le graphisme et l’identité visuelle du projet ont été réalisés par Éliot B.Lafrenière.
La série Balado a, de plus, été nominés dans la catégorie “Petites ondes” dans le cadre du festival Longueur d’onde à Brest, en France. Les lauréats seront annoncés le 11 février
Le projet est une idée originale de Francis Jodoin. C’est une production de la Corporation de développement de Saint-Damien grâce au soutien du programme Nouveaux Horizons pour les aînés. Il a été porté par un comité de travail composé de: Marion Macé, Roger Dénommée, Étienne Marion, Martin Robitaille, Marie-Noël Da Silva ainsi que les artistes précédemment cités.
Lors du Championnat du monde de boxe en octobre dernier, Kim Clavel a dû faire face à une difficile défaite dans ce combat, où elle avait livré une performance des plus impressionnantes.
La sportive professionnelle avait publié un touchant message sur les réseaux sociaux où elle mentionnait être tout de même très fière de sa dernière performance, malgré la déception de ne pas avoir remporté, ce qui l’a poussée à prendre une pause.
Après avoir annoncé qu’elle se retirerait du monde la boxe pour une durée indéterminée, afin de reprendre des forces et digérer cette défaite crève-cœur, la populaire athlète a finalement décidé qu’il était temps pour elle d’annoncer son retour sur le ring.
Et ses plus grands fans étaient particulièrement contents d’entendre cette excellente nouvelle!
Parce que l’activité industrielle sera encore bien active en 2024, des milliards de dollars pourraient être investis en nouveaux projets sur le territoire de Varennes au cours de la prochaine année. En effet, le conseiller Marc-André Savaria a tracé, à la fin de 2023, un portrait encourageant des investissements qui sont dans le collimateur, sur le territoire industriel de Varennes.
Dans le secteur Est de la ville, l’entreprise Recyclage Carbone Varennes (Enerkem) prévoit injecter 1,3 milliard dans ses nouvelles installations. Costco, déjà bien présent à Varennes avec son méga entrepôt dans le même secteur, devrait bientôt lancer la phase 2 de ses projets d’agrandissements, avec un nouvel investissement de 90 M$. Greenfield Global, déjà présent dans le secteur Est, doit également agrandir ses installations. De plus, le groupe Devco a déjà signifié son intention d’acheter des plateaux de l’immense terrain des anciennes installations de Pétromont. Également, non loin de là, le constructeur d’embarcation récréatif Pélican ajoutera de nouveaux bâtiments à ses installations pour un investissement de 42 M $.
Sur le boulevard Lionel-Boulet, le terrain de l’ancienne entreprise Soudure Chagnon devrait faire place à une nouvelle industrie d’envergure. Le groupe Réseau Synergie Santé construira dans ce même secteur un nouvel édifice qui abritera entre autres une clinique médicale régionale grâce à un investissement de plus de 10 M$. Toujours dans ce secteur de Varennes, les terrains de Mo Métal seront développés par le groupe Broccolini alors que le Groupe Robert ouvrira son nouveau centre de distribution évalué à un peu plus de 200 M$.
À cela s’ajoutent d’importants développements prévus sur les terrains à l’arrière de l’IREQ, soit un nouveau complexe évalué à 350 M$, un nouveau bâtiment à l’arrière du complexe de l’entreprise mondiale Amazon (200 M$) et un développement du terrain de ABB Hitachi.
Le résultat de la stratégie
Le maire de Varennes, Martin Damphousse, n’a pas manqué de confirmer, lui aussi lors de la présentation budgétaire 2024, le succès de sa stratégie de développement industriel mise de l’avant par la Ville il y a une dizaine d’années, en achetant de nombreux terrains en friche pour y amener des services et revendre à fort profit lesdits terrains. Ce fut le cas, par exemple, de l’arrivée du groupe Jean Coutu. La Ville avait acquis d’Hydro-Québec un champ, puis ouvert une rue pour y accéder et y amener les services. Le maire Damphousse a également rappelé que « le succès du développement industriel de Varennes repose sur sa situation géographique stratégique (près des grands axes routier) et fait l’envie de bien des villes de la région, car les revenus de taxation industriels et commerciaux atteignent maintenant 63 % de l’assiette fiscale de la ville, un nouveau record établi en 2023 ».
Un succès selon la CCIRS
Pour le président directeur-général de la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud, Jean-François Levesque, « les succès exceptionnels du développement économique de Varennes méritent d’être soulignés. La diversification de la base industrielle, avec un focus particulier sur le secteur de l’énergie renouvelable, représente un moteur de croissance majeur pour l’ensemble de la région ».
M. Lévesque souligne à son tour la vision «proactive» de l’administration municipale, «qui guide de manière éclairée les politiques pour stimuler l’activité économique, des investissements dans des infrastructures modernes qui facilitent l’implantation d’entreprises et participent à l’essor général, et une collaboration fructueuse entre les secteurs public et privé qui constitue une force motrice essentielle pour la réalisation de projets novateurs
La Ville de Rimouski présente une programmation variée et haute en couleur chaque mois pour ses bibliothèques municipales! Dès maintenant, il est possible de consulter le calendrier des événements de la Ville de Rimouski et Quoi Vivre Rimouski pour obtenir tous les détails de la programmation.
Reprise des heures du conte
Depuis samedi dernier, c’est la reprise des activités de l’heure du conte. Un classique apprécié de toute la famille. Tous les samedis à 10 h à la bibliothèque Lisette‑Morin et une fois par mois dans vos bibliothèques de quartier :
1er samedi du mois : bibliothèque Émile-Gagnon;
2e samedi du mois : bibliothèque Pascal-Parent;
3e samedi du mois : bibliothèque Pointe-au-Père.
SAMEDI 20 JANVIER
Nuit de la lecture – activité à ne pas manquer!
C’est le retour des Nuits de la lecture! Pour la 6e édition québécoise de cette initiative internationale, la bibliothèque Lisette-Morin ouvre spécialement ses portes de 19 h à minuit!
Vous pourrez entre autres y entendre des lectures de Marie-Hélène Voyer, Laurence Veilleux et Anthony Lacroix. Également au programme :
musicien;
atelier d’écriture;
rencontres et échanges littéraires;
station création poésie;
heure du conte (adulte);
découvertes BD;
micro ouvert et plus encore!
Créées pour célébrer le plaisir de lire, les Nuits de la lecture ont su conquérir, au fil des éditions, un public de plus en plus large. Une façon originale de mettre un peu de lumière dans les longues nuits de janvier!
MARDI 23 JANVIER
Groupe de tricot –Nouveauté!
Une nouveauté cet hiver, un groupe de tricot, un mardi par mois, à la bibliothèque Lisette-Morin. Les 23 janvier et 20 février, dès 18 h, les personnes débutantes ou expertes sont invitées à tricoter et partager leurs connaissances!
SAMEDI 27 JANVIER
Matinée jeux de société
Une matinée de jeux de société pour toute la famille à la bibliothèque Émile‑Gagnon, dès 10 h. Venez découvrir de nouveaux jeux!
Autres dates :
24 février : bibliothèque Pointe-au-Père.
MARDI 30 JANVIER
Activité Creuse-Ciboulot
Un après-midi de jeux de connaissances générales pour les 60 ans et plus. Venez faire travailler vos méninges tout en vous amusant, dès 13 h 30 à la bibliothèque Lisette-Morin.
La Bibliothèque Lisette-Morin (Photo courtoisie Tourisme Rimouski)
MERCREDI 31 JANVIER
Conte en pyjama
De 18 h 30 à 19 h, toute la famille est invitée à participer à une heure du conte en pyjama, à la bibliothèque Pointe-au-Père, question de terminer la journée en beauté.
Autres dates :
7 février : bibliothèque Pascal-Parent;
14 février : bibliothèque Émile Gagnon;
21 février : bibliothèque Lisette-Morin.
SAMEDI 17 FÉVRIER
Les Contes Nomades — Afrique et Haïti
C’est le retour des Contes Nomades! Cette série de contes, à saveur de diversité culturelle, vise à faire découvrir à toute la famille l’univers merveilleux de conteuses et de conteurs qui proviennent des quatre coins du monde.
Le 17 février à 10 h, à la bibliothèque Lisette-Morin, on voyage en Afrique et en Haïti avec Michel-Ange Nicolas. Une histoire racontée à la manière légendaire des traditions orales, un conte épique à mourir de rire qui se déroule sur un continent lointain, et surtout qui n’a jamais été vu, entendu, ni même jamais lu dans un livre… Nous vous attendons en grand nombre!
Cette activité est rendue possible avec la participation financière du gouvernement du Québec.
Rappelons aussi que les bibliothèques proposent une foule de services en tout temps : prêt de jeux de société, services numériques spécialisés, suggestions de lecture, prêt de télescopes, etc.
Par ailleurs, les bibliothèques de la Ville de Rimouski ajoutent à leur offre de services numériques une nouvelle ressource spécifiquement destinée aux enfants et aux adolescents qui souffrent d’un trouble d’apprentissage (dysphasie, dyslexie, etc.) ou aux apprentis lecteurs : la collection de livres numériques BibliOdyssée. Offerte gratuitement aux membres, cette collection est facilement disponible en ligne, sur le site biblio.rimouski.ca.
La Ville de Rimouski présente une programmation variée et haute en couleur chaque mois pour ses bibliothèques municipales! Dès maintenant, il est possible de consulter le calendrier des événements de la Ville de Rimouski et Quoi Vivre Rimouski pour obtenir tous les détails de la programmation.
Reprise des heures du conte
Depuis samedi dernier, c’est la reprise des activités de l’heure du conte. Un classique apprécié de toute la famille. Tous les samedis à 10 h à la bibliothèque Lisette‑Morin et une fois par mois dans vos bibliothèques de quartier :
1er samedi du mois : bibliothèque Émile-Gagnon;
2e samedi du mois : bibliothèque Pascal-Parent;
3e samedi du mois : bibliothèque Pointe-au-Père.
SAMEDI 20 JANVIER
Nuit de la lecture – activité à ne pas manquer!
C’est le retour des Nuits de la lecture! Pour la 6e édition québécoise de cette initiative internationale, la bibliothèque Lisette-Morin ouvre spécialement ses portes de 19 h à minuit!
Vous pourrez entre autres y entendre des lectures de Marie-Hélène Voyer, Laurence Veilleux et Anthony Lacroix. Également au programme :
musicien;
atelier d’écriture;
rencontres et échanges littéraires;
station création poésie;
heure du conte (adulte);
découvertes BD;
micro ouvert et plus encore!
Créées pour célébrer le plaisir de lire, les Nuits de la lecture ont su conquérir, au fil des éditions, un public de plus en plus large. Une façon originale de mettre un peu de lumière dans les longues nuits de janvier!
MARDI 23 JANVIER
Groupe de tricot –Nouveauté!
Une nouveauté cet hiver, un groupe de tricot, un mardi par mois, à la bibliothèque Lisette-Morin. Les 23 janvier et 20 février, dès 18 h, les personnes débutantes ou expertes sont invitées à tricoter et partager leurs connaissances!
SAMEDI 27 JANVIER
Matinée jeux de société
Une matinée de jeux de société pour toute la famille à la bibliothèque Émile‑Gagnon, dès 10 h. Venez découvrir de nouveaux jeux!
Autres dates :
24 février : bibliothèque Pointe-au-Père.
MARDI 30 JANVIER
Activité Creuse-Ciboulot
Un après-midi de jeux de connaissances générales pour les 60 ans et plus. Venez faire travailler vos méninges tout en vous amusant, dès 13 h 30 à la bibliothèque Lisette-Morin.
La Bibliothèque Lisette-Morin (Photo courtoisie Tourisme Rimouski)
MERCREDI 31 JANVIER
Conte en pyjama
De 18 h 30 à 19 h, toute la famille est invitée à participer à une heure du conte en pyjama, à la bibliothèque Pointe-au-Père, question de terminer la journée en beauté.
Autres dates :
7 février : bibliothèque Pascal-Parent;
14 février : bibliothèque Émile Gagnon;
21 février : bibliothèque Lisette-Morin.
SAMEDI 17 FÉVRIER
Les Contes Nomades — Afrique et Haïti
C’est le retour des Contes Nomades! Cette série de contes, à saveur de diversité culturelle, vise à faire découvrir à toute la famille l’univers merveilleux de conteuses et de conteurs qui proviennent des quatre coins du monde.
Le 17 février à 10 h, à la bibliothèque Lisette-Morin, on voyage en Afrique et en Haïti avec Michel-Ange Nicolas. Une histoire racontée à la manière légendaire des traditions orales, un conte épique à mourir de rire qui se déroule sur un continent lointain, et surtout qui n’a jamais été vu, entendu, ni même jamais lu dans un livre… Nous vous attendons en grand nombre!
Cette activité est rendue possible avec la participation financière du gouvernement du Québec.
Rappelons aussi que les bibliothèques proposent une foule de services en tout temps : prêt de jeux de société, services numériques spécialisés, suggestions de lecture, prêt de télescopes, etc.
Par ailleurs, les bibliothèques de la Ville de Rimouski ajoutent à leur offre de services numériques une nouvelle ressource spécifiquement destinée aux enfants et aux adolescents qui souffrent d’un trouble d’apprentissage (dysphasie, dyslexie, etc.) ou aux apprentis lecteurs : la collection de livres numériques BibliOdyssée. Offerte gratuitement aux membres, cette collection est facilement disponible en ligne, sur le site biblio.rimouski.ca.
À la recherche d’une escapade hivernale à faire en famille, entre amis ou en couple ? Des sorties de ski familiales aux randonnées bucoliques dans l’arrière-pays en passant par les soirées qui se prolongent dans les quartiers branchés de Toronto, l’Ontario a de quoi charmer tous les types de voyageurs et de voyageuses. La province vous propose une foule d’activités pour inspirer l’itinéraire de votre prochain week-end d’évasion.
Qu’est-ce qu’un XTRA?
XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.
Partir en famille
Le centre de villégiature Calabogie Peaks
Patinage, ski de fond, ski alpin, planche à neige, raquette : tout ça peut se faire au centre de villégiature Calabogie Peaks. Ce dernier se trouve dans la vallée d’Ottawa, à près d’une heure de Gatineau. Les familles y découvriront le lieu idéal pour développer ou cultiver leur passion pour les sports d’hiver. Des chambres et des condos avec vue sur la montagne sont également offerts en forfaits pour vous permettre de profiter au maximum des installations de ce paradis d’hiver.
Le Great Wolf Lodge, à Niagara Falls
Si trouver une activité qui plaira à toute la famille est un défi à relever de votre côté, la station balnéaire familiale Great Wolf Lodge, située à quelques minutes de la ville de Niagara Falls, fait assurément partie de la solution. Idéal pour ceux et celles qui voyagent avec des enfants, ce parc aquatique intérieur vous permet de profiter de la chaleur et des plaisirs de l’été sans avoir à quitter le pays. Restaurants offrant de délicieux repas, chambres, animations et jeux thématiques sont à la disposition des gens pour un séjour riche en action.
En visitant la région, vous pourrez également prendre place à de bonnes tables, voir les chutes du Niagara, visiter entre adultes des vignobles et faire plusieurs autres activités en famille, pour un séjour riche en activités.
La relaxation à son meilleur
Une retraite d’hiver dans le Nord de l’Ontario
Les beautés naturelles des hautes terres algonquines sont à l’honneur dans les retraites uniques offertes par Dimensions. Axée sur le bien-être avec une approche holistique, la formule comprend des nuitées dans une luxueuse cabine privée, des activités de relaxation choisies en fonction de vos préférences et des repas biologiques cuisinés sur place par une chef. Des retraites thématiques ont lieu durant toute la saison hivernale, ce qui ravira les voyageurs et les voyageuses.
Le spa Sainte-Anne
Les spas et centres de bien-être sont fort populaires en Ontario. Selon la destination que vous prévoyez visiter dans la province, un petit détour s’impose pour vous arrêter dans l’un de ces magnifiques endroits. Parmi ceux-ci, le spa Sainte-Anne, situé à une heure de Toronto, se distingue par son immense terrain parsemé de jardins et de boisés. Ses installations modernes se mêlent au style majestueux de l’architecture du bâtiment principal pour créer un décor digne d’un film. Bassins d’hydrothérapie, restaurant gastronomique, piscine extérieure, gymnase et sentiers pédestres sont accessibles aux visiteurs et aux visiteuses qui cherchent à déconnecter de la vie quotidienne.
Pour les adeptes du grand air
Du camping d’hiver
Quoi de mieux que le camping d’hiver pour apprivoiser la nordicité canadienne ? L’Ontario regorge de parcs nationaux et provinciaux tout aussi grandioses les uns que les autres où pratiquer une pléthore d’activités de plein air. Le parc provincial Killarney propose des yourtes aménagées pour la saison froide ainsi qu’une multitude de sentiers pédestres. Vous avez l’âme aventurière ? Le parc national de la Péninsule-Bruce est réputé pour ses paysages à couper le souffle. Durant la saison froide, profitez de yourtes et de terrains de camping sauvage dans le secteur de Tamarack.
Toronto sous la neige
Vibrante en été comme en hiver, la ville de Toronto se veut une destination incontournable, et ce, peu importe la température. Passez la journée sur les patinoires extérieures et assistez ensuite à un spectacle mémorable tout en logeant dans un établissement hôtelier de qualité supérieure. Toronto est également reconnue comme une destination culinaire de choix : plus de 82 de ses restaurants figurent en effet dans le célèbre guide Michelin, et 15 établissements ont même reçu l’honneur d’une étoile.
Localisation
Parc du Millénaire - Rue Jean-Juneau
Centre socio-récréatif Les Bocages - 4850 rue du Sourcin
À la suite d’une consultation publique auprès des utilisateurs, la Ville de Saint-Augustin-de-Desmaures a procédé à la réfection, au cours de l’été 2021, de ses deux parcs de planches à roulettes et à l’aménagement d’un circuit tout-terrain fermé à bosses et virages.
Situés au centre socio-récréatif Les Bocages et au parc du Millénaire (secteur centre), les trois équipements combinés représentent un investissement de plus de 500 000 $. L’investissement a, entre autres, permis le bétonnage de toute la surface et l’installation de modules aussi conçus entièrement en béton. Ce qui assure un roulement plus doux et moins bruyant.
L’accès aux aires de planche à roulettes est gratuit et ouvert tous les jours du début mai à la fin octobre. Les infrastructures s’adressent autant aux utilisateurs débutants qu’à ceux d’un niveau avancé. Il est possible d’y pratiquer la planche à roulettes, bien entendu, mais aussi la trottinette, le vélo de style BMX et le patin à roues alignées.
Dans nos aires de planches à roulettes : Un climat cool pour tous!
V-SqAD: pour le respect du code de vie Tu veux devenir ambassadeur de la V-SqAD?
Tu aimes la planche à roulettes ou la trottinnette?
Tu respectes le code de vie?
Tu as le goût de faire la promotion du code de vie?
Tu as plus de 18 ans? Inscris-toi ici dès maintenant!
Règlementation
Le port du casque de protection est obligatoire pour tous et en tout temps selon le Règlement no 2021-666 relatif à l'utilisation des parcs publics de planches à roulettes et des circuits tout-terrain fermés à bosses et virages. https://vsad.ca/uploads/greffe/reglement/2021/rgl-2021-666-20210830.pdf
Jamais sans mon casque
La Ville de Saint-Augustin-de-Desmaures adhère fièrement à la culture du port du casque. Le site https://jamaissansmoncasque.org/ offre plusieurs informations concernant le port du casque et sur les risques de ne pas le porter.
Modules et infrastructures
Parc du Millénaire Half pipe Demi-bowl
Quarters
Wally
Flat box
Combiné A fram
Flat rail
Down flat rail
Flat Ledge
Pyramide
Minpad
Step up
Hubba
Flat down rail
CSR les Bocages
Bank to ledge Ilot Manibox
Flat rail
Volcano
Quarters
Half pipe 2 niveaux
Step up
Down rail
Hubba Ledge
Marches
Parc du MillénaireCSR les BocagesParc du MillénaireParc du Millénaire
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